Bonne année 2022 (+ erratum, Ariane Bilheran, Reiner Fuellmich) 157
(L'interpellation favorite d'un certain Patrick Edlinger.) Note: Le lien vers Urmie Ray ici présent pendant quelques heures a été retiré car une vidéo précédente d'un entretien également avec Akina brodait autour des radiations électro-magnétiques dans un discours très peu scientifique. Dommage car elle abordait, sans dire le mot, le problème des amorces des tests RT-PCR, qui ne sont pas spécifiques à des séquences de la chaîne artificielle de nucléotides appelée SARS-CoV-2 mais flanquent aussi des séquences présentes dans le génome humain, comme le soulignent notamment les travaux de Roxana Bruno et Edgardo Shinder (Argentine, 2020 "Inespecificidad del test RT-PCR en Tiempo Rear para detectar COVID-19") et ceux de Pieter Borger et coll. (22 auteurs dont Michael Yeadon, 27/11/2020, "Review report Corman-Drosten et al. Eurosurveillance 2020"). Urmie Ray affirmait à raison que le virus SARS-CoV-2 n'a pas été isolé à partir de prélèvements issus de prétendus malades de la maladie dite Covid 19, sans passer par une étape d'amplification usant d'amorces fantaisistes ou par une mise en culture cellulaire inappropriée (car un malade d'infection virale respiratoire est porteur de centaines de milliers voire de millions de virions, toute "amplification" est donc inutile) de sorte qu'aucune preuve scientifique de l'existence d'une nouvelle maladie n'a été apportée. Mais elle affaiblissait gravement le propos en l'étendant à tous les virus connus ce qui est évidemment le meilleur moyen pour le rendre parfaitement inaudible. La vidéo précédente sur les radiations électro-magnétiques prétendait trouver une corrélation entre plusieurs épidémies virales et le développement de réseaux transportant des ondes électro-magnétiques, tout en faisant une confusion fâcheuse entre celles-ci (des photons) et l'électricité (un déplacement d'électrons). Nous n'allons pas remettre en question la totalité des connaissances en microbiologie à l'occasion de l'imposture covidiste, ce serait lui faire trop d'honneur et surtout commettre un contre-sens. Car il faut affirmer au contraire que nous avons affaire à une fausse science, à une fraude scientifique, et donc nous appuyer sur les connaissances scientifiques et non les rejeter. L'intervention de Urmie Ray rejoint les affirmations de Tom Cowen. Et si nous ne partageons pas du tout sa remise en cause des connaissances en virologie, la vidéo suivante, très courte, a le mérite de faire comprendre comment la fraude du virus SARS-CoV-2 et de ses variants a pu se produire en séquençant une "soupe" de provenances diverses, et non en procédant d'abord à l'isolation du virus présumé, pour obtenir un virus "in silico" (par analogie avec les in vivo et in vitro). Vidéo de Tom Cowen ici. * Nous savons maintenant que l'imposture sanitaire mérite d'être coupée à sa base: La maladie dite Covid 19 n'existe pas. Alors quoi? Que se passe-t-il donc puisqu'il n'y aurait aucune crise sanitaire? Plus en amont encore que les David E. Martin et Christine Massey, c'est la psychologue Ariane Bilheran qui a donné la réponse. Il s'agit bien d'une crise sanitaire, il s'agit bien d'une contagion. Et d'une maladie bien plus grave et contagieuse qu'une infection virale respiratoire. Nous vivons la contagion planétaire d'une psychose paranoïaque. L'éclairage de la psychopathologiste, invitée chez Akina, est: - à la fin de l'article 150 (entretien du 25 août 2021). Comment en sortir, nous dit Ariane Bilheran? Une seule solution. Les personnes atteintes ne sortiront du délire que quand elle se feront mal, très mal. La réalité, c'est quand on se cogne, disait Jacques Lacan. Le troupeau des "vaccinés" volontaires ne pourra recoller à la réalité qu'après avoir vécu des drames, décès de leurs proches ou handicaps divers. Le constat est dur mais il est lucide. * Pour finir sur une note positive, voici une minuscule vidéo de Reiner Fuellmich qui continue le travail. Une procédure pénale est lancée aux USA. En France, la seule avocate qui suit ce dossier est Maître Virginie de Araujo-Recchia. Suite Reiner Fuellmich: Le rétablissement de l'esclavage, par Catherine Austin-Fitts, ici. Le "smoking gun" des lots dont les effets dits "secondaires" sont éminemment variables, par Michael Yeadon, ici. [Pour indication, les opposants connus en lesquels je fais aujourd'hui toujours confiance, lot qui se restreint de jour en jour, sont les suivants: Reiner Fuellmich, David E. Martin, Christine Massey, Ariane Bilheran, Denis Rancourt, Virginie de Araujo-Recchia, Sonia Vescovacci, Pierre Chaillot, Laurent Toubiana, Catherine Austin-Fitts, Michael Yeadon, Sucharit Bhakdi, Véra Sharav, Jean-Pierre Joseph, Wolfgang Wodarg, Arne Burkhardt. Je ne fais plus confiance aux personnes qui font la promotion de Didier Raoult ou qui font vivre la maladie imaginaire de diverses façons ("jai-eu-le-covid!", les traitements précoces marchent, la recrudescence de cas après injections) comme: Louis Fouché, Jean-Dominique Michel, Jean-Jacques Crèvecœur, Salim Laïbi, Christian Perronne, Alexandra Henrion-Caude (laquelle affiche sur sa page Twitter du 16 février au 5 juin 2022 le tweet épinglé intitulé "Personne ne devrait plus en mourir: de très nombreuses solutions sont décrites avec ET sans ordonnance, etc." pour bien faire exister dans l'esprit des contestataires la maladie imaginaire) Chloé Frammery, Astrid Stuckelberger, Nicole Delépine, Martine Wonner, Richard Boutry, Xavier Azalbert, Frédéric Chaumont, Antoine Cuttitta, Silvano Trotta, Denis Agret, et évidemment mais depuis longtemps aux deux tenanciers des épiceries de l'ivermectine (Gérard Maudrux) et de l'hydroxychloroquine. Mais faites bien comme vous voulez...] Et ce blog est toujours consacré à... l'alpinisme, dont la pratique nécessite un préalable: la conservation de notre liberté fondamentale d'aller et venir. |
La Pointe Jeanne en été par l'arête sud-ouest, c'est à l'article 145. |
La balade au Lac Lautier, c'est à l'article 148, à la suite de la VN de la Cime d'Orgières. |
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Les greluches d'Alpinisme sans Guide
Le costume des femmes a toujours été révélateur du caractère plus ou moins libéral d'une société. Les archéologues ont ainsi décrit très tôt les robes légères et colorées de la première civilisation crétoise, où la coquetterie des femmes en jupes à volant et aux corsages décolletés témoignait à la fois d'une grande influence et d'une grande liberté en comparaison avec la société voisine achéenne aux mœurs guerrières. Tout se passe comme si l'ourlet de la jupe était placé avec exactitude à la hauteur permettant de déambuler sans risque d'agression de la part des hommes, de sorte que le monokini des plages des années 70 était un fort marqueur d'une société apaisée, libre, dépourvue de danger. A notre époque, la femme porte surtout le pantalon, elle ne s'y est pas trompée. Nous sombrons dans une période totalitaire dont il va être difficile de sortir.
Sur Alpinisme Sans Guide, nos greluches ont résolument pris le contrepied en espérant une prédiction autoréalisatrice. Si les mœurs libérales d'une société influencent la hauteur de l'ourlet, nous voulons croire que l'inverse est possible. Cette ressuscitation de la pin-up des années 20 dans le monde de la montagne a pour vocation de faire revenir cette société française dans laquelle il fait bon vivre, où chaque citoyen ne se transforme pas en kapo de l'autre, surveillant zélé de sa façon de vivre et de son statut vaccinal.