Denis Rancourt: Nouvelles conclusions majeures 151

Avertissement du 6 février 2024: Denis Rancourt montre de graves signes de faiblesse. Il a depuis de nombreux mois fait une large publicité pour une étude montrant que les injections Covid auraient provoqué 17 millions de morts. Outre le fait que cette étude a pour co-auteur le fumeux Jérémie Mercier dont le mentor a été le fameux Tal Schaller (qui vanta les mérites du boîtier Healy devant vous recaler le "taux vibratoire"... sans commentaire), une telle conclusion, extrapolation à partir de données invérifiables de pays de l'hémisphère sud, ne trouve pas de confirmation dans notre pays. En effet, alors que le site de la Sécurité Sociale Amélie.fr indique que plus de 50 millions de Français avaient reçu au 1er janvier 2023 une ou plusieurs injections de ces produits présentés comme des vaccins contre la maladie imaginaire, notre pays a connu une mortalité toutes causes confondues très faible en 2023:


On en déduit facilement que les produits injectés ne sont pas mortels. Par ailleurs, Denis Rancourt fait aujourd'hui des déclarations intempestives en prétendant qu'il ne serait pas convaincu de l'existence des virus. Ceci le rend forcément très suspect. On ne peut alors que se souvenir qu'il fut introduit en France par l'un des "vigiles" appliqué de l'IHU de Marseille, Salim Laïbi...

Si l'on peut toujours se servir des démonstrations de l'auteur montrant que la cinématique de la mortalité toutes causes infirme la propagation d'une quelconque épidémie, on doit conserver son sens critique devant un auteur qui semble nous envoyer dans le décor sur plusieurs sujets, comme sa vision géopolitique de la crise Covid, prétendant y voir une agression des USA contre la Chine et la Russie. Cette façon de voir est évidemment fausse puisque Chine et Russie ont participé sans retenue à l'imposture sanitaire occidentale.

 Le professeur de physique (maintenant à la retraite) de l'Université d'Ottawa, Denis Rancourt, nous livre les nouveaux fruits de son brillant esprit scientifique. Nous l'avions relayé voici plusieurs mois au sujet de la transmission essentiellement par aérosols des virus, mettant à mal les affirmations légères d'un Didier Raoult prétendant qu'un coronavirus se transmettait davantage par les mains. Ce fut du reste un élément important qui nous permit, avec beaucoup d'autres, une prise de conscience du jeu provençal qui alimentait, tout en faisant semblant de le combattre, le narratif officiel. Aujourd'hui (en réalité cet été, mais les vidéos et leurs traductions mettent longtemps à nous parvenir), Denis Rancourt vient confirmer les conclusions de David E. Martin (voir article 147) selon lesquelles aucune maladie émergente n'est apparue dans le monde à la fin de l'année 2019 en relation avec la chaîne artificielle de nucléotides prétendument nouvelle appelée SARS-CoV-2, en employant cette fois un autre moyen que celui des brevets. Nous avons donc avec Denis Rancourt et David E. Martin deux esprits brillantissimes qui ont trouvé la même vérité par des chemins différents et tout aussi originaux l'un que l'autre.

Ce second chemin est celui de la disparité de la mortalité toutes causes confondues selon les juridictions. La démonstration est d'une simplicité biblique. Un virus, lors d'une pandémie, ne connaît pas les frontières administratives. Il se répand dans les populations, indifférent aux juridictions. Ici, les disparités très fortes de la mortalité toutes causes confondues selon les différentes juridictions d'échelles variées (Etats, villes, établissement hospitaliers, etc.) prouvent que les morts ont été produits par une attaque socio-économico-sanitaire des autorités locales sur les populations fragiles et n'ont rien à voir avec une épidémie virale.

La vidéo ici:

Cliquer sur l'image pour lire la vidéo.


Denis Rancourt apporte ainsi une nouvelle preuve que la maladie dite Covid 19 n'existe pas. On sait que la fraude a été permise par les tests RT-PCR dont les amorces sont fantaisistes, comme l'a montré de façon éclatante le président de Tanzanie John Magufuli (très certainement assassiné) par sa papaye, sa caille et sa chèvre revenues positives au test RT-PCR du Covid, tests protégés par brevets, ce qui interdit d'en concevoir des versions exactes.

Il faut donc comprendre que la maladie émergente dite Covid 19 n'existe pas et n'a jamais existé. La totalité des infections ORL et respiratoires courantes ont été diagnostiquées à tort Covid19 (voir fin d'article 153), soit avec la complicité active de certains médecins hospitaliers corrompus connaissant leur science, soit par l'abrutissement du médecin de base trompé dans son propre domaine d'expertise. Le virus SARS-CoV-2, lui, existe, puisque sa séquence génomique a même fait l'objet de 73 brevets depuis 2009. Mais ce qui intéressait les chercheurs ne concernait que la portion de séquence de la protéine spike, conçue comme une arme biologique selon la définition de David E. Martin et les interrogations de Michael Yeadon. Cette protéine spike fut modifiée par l'adjonction dans les laboratoires du monde occidental d'un grand nombre de gains de fonctions (travaux de la généticienne de Hong-Kong Li-Meng Yan, voir article 134). Le génome complet du SARS-CoV-2 ne fut présenté au public du monde entier que dans le dessein de faire croire à une épidémie par ce virus. Car il n'y a jamais eu de lâchage de virus par un laboratoire, comme y insiste le docteur David E. Martin dans son entretien avec Reiner Fuellmich (à la minute 30min30s, voir article 147). Certains médias mainstream tentent aujourd'hui de lancer cette thèse de lâchage d'un virus artificiel par le laboratoire P4 de Wuhan pour sauver l'idée que la maladie a existé, ce qui est faux, comme était fausse l'origine naturelle du virus. Il ne s'est en réalité rien passé du tout en terme de santé publique à la fin de l'année 2019, ni en Chine ni ailleurs, ni zoonose, ni fuite accidentelle,  ni lâchage intentionnel, seulement une gigantesque mise en scène, relayée par la fraude des tests RT-PCR, conçus par l'Allemand Christian Drosten, et introduits en France par Didier Raoult. Le virus SARS-CoV-2 existe mais n'est pas présent chez les malades, lesquels  sont malades des maladies diverses qu'on a toujours connues, dont du reste des infections à coronavirus, entre autres. Ce virus SARS-CoV-2 n'a été en définitive que la raison sociale des produits présentés comme des vaccins, sa photographie sur le catalogue de la marque pour que vous achetiez le produit: le "vaccin" dangereux. Il est une couverture sociale comme l'épicerie du coin est la couverture de votre trafiquant de drogue local. Mais il n'a tué personne.

Le danger est le "vaccin", pas le virus. En somme, le génie de l'association criminelle internationale mondialiste qui a organisé l'imposture a consisté en deux choses:

1/ fabriquer une image publicitaire (le génome complet du virus SARS-CoV-2) du produit (le prétendu "vaccin")  afin de pouvoir l'inoculer aux populations sans rencontrer de résistance;

2/ breveter le mensonge, en protégeant les kits de tests RT-PCR frauduleux par brevets internationaux.

Derrière ce génie plane bien entendu la psychose paranoïaque de nos ennemis génocidaires. Erostrate a de brillants successeurs.

________

Bonus:

Rappel sur les "vaccins" en un commentaire sur le forum de Profession-gendarme, malheureusement gangréné, avec la bénédiction de son taulier, par les chiens de garde mondialistes se faisant passer pour des opposants au régime, comme on l'avait vu sur Le Blog de Gérard Maudrux dont l'hôte lui-même, succédané de Raoult, était un désinformateur relayant l'essentiel du narratif officiel.


On rappelle aussi la première contre-indication universelle de tout acte médical: le refus du patient.


L'étonnement de Mademoiselle Henry Gerbault (1863-1930)



_______

Commentaire placé sur Profession-gendarme le 8 octobre:

"Bruce Lee, qui, comme Henri Queuille (« Il n'est pas de problème dont une absence de solution ne finisse par venir à bout. »), aimait les petites phrases, disait : «  Avant que je n'apprenne les arts martiaux, un coup de poing n'était qu'un coup de poing, un coup de pied rien qu'un coup de pied. Avec mon apprentissage des arts martiaux, un coup de poing était plus qu'un coup de poing, un coup de pied plus qu'un coup de pied. Finalement, une fois que j'eus compris les arts martiaux, un coup de poing n'était plus qu'un coup de poing, un coup de pied n'était plus qu'un coup de pied. »

La connaissance des choses procède souvent de cette manière.

Aujourd'hui, l'ignorant pense que nous vivons une crise sanitaire.

L'homme informé imagine qu'il s'agit d'une crise politique, puisque, fort des travaux du statisticien Pierre Chaillot (absence de surmortalité toutes causes confondues), de l'expert en brevets médicaux David E. Martin (absence de preuves de l'émergence d'une maladie nouvelle causée par la chaîne artificielle de nucléotides prétendument nouvelle appelée SARS-CoV-2), et du professeur de physique Denis Rancourt (disparités de la mortalité toutes causes confondues selon les juridictions), il sait que la maladie dite Covid 19 n'existe pas et n'a jamais existé, et que le virus SARS-CoV-2 n'est que la raison sociale – l'image sur le catalogue de la marque – de l'arme biologique de dépopulation furtive que représente le code génétique de la protéine spike augmentée.

Finalement, l'homme averti, en l'occurrence une femme, Ariane Bilheran qui a, la première, posé le bon diagnostic, sait que nous vivons une authentique crise sanitaire : la contagion planétaire de la psychose paranoïaque d'une poignée de psychopathes milliardaires.


La surprise est que les malades le plus spectaculairement atteints ne sont pas ces ignorants dociles précipités vers la seringue, mais ces autres, brandissant leur savoir pour défendre qu'il est possible de venir à bout de la maladie dite Covid 19 sans devoir recourir à l'injection de substances dangereuses. Ceux-là, en développant des arguments montrant que l'hydroxychloroquine, l'ivermectine, la vitamine D, le zinc, etc. guériraient spécifiquement de la maladie imaginaire, croyant combattre la psychose paranoïaque depuis l'intérieur du délire de leurs agresseurs, sont en réalité entrés eux-mêmes en psychose. Nous ne parlons pas ici bien sûr des boutiquiers manipulateurs tenant les épiceries de l'hydroxychloroquine ou de l'ivermectine, agents serviles de Davos, mais de ces personnes méritantes, courageuses, nobles, qui tentent de combattre avec maladresse le totalitarisme planétaire.

La maladie imaginaire dite Covid 19 ne repose que sur les tests RT-PCR dont les kits commercialisés sont protégés par brevets, détenus par l'association criminelle internationale fabriquant le délire psychotique. Les amorces de ces kits n'ont aucune spécificité pour la chaîne artificielle de nucléotides prétendument nouvelle appelée SARS-CoV-2. Ces tests n'ont donc aucune valeur. Et il ne s'agit pas du nombre de cycles comme on le répète stérilement, ni du fait de pratiquer ces tests chez des personnes asymptomatiques, ni encore des déclarations de Kary Mullis, puisque la Taq polymérase est utilisée efficacement pour détecter d'autres virus comme par exemple celui de l'hépatique B. Il s'agit des amorces, lesquelles sont fantaisistes, comme John Magufuli l'a mis en évidence avec sa papaye, sa caille et sa chèvre, données positives au test frauduleux.

Toute étude, toute courbe, faisant état de « cas Covid », de « malades Covid », de « morts Covid », de « charges virales Covid », repose sur ces tests frauduleux. Après les avoir placées dans un geste d'hygiène élémentaire, tout au fond de la grande poubelle des fraudes scientifiques de l'histoire, il ne reste absolument rien de la maladie dite Covid 19. Le nombre de malades de cette maladie dite Covid 19 est égal à zéro dans le monde.

Par surcroît, l'immunité cellulaire acquise, durable, et croisée pour toute la famille des coronavirus, connue depuis longtemps, entraîne une chose certaine : Il ne se produira jamais dans le monde de pandémie à coronavirus.

Chers compatriotes, sortons du délire fabriqué par la psychose de nos ennemis. Ne cherchons plus à le combattre depuis l'intérieur. Car cela signifie : entrer soi-même en psychose."