Dans la série "la maladie Covid 19 n'existe pas", vous connaissiez David E. Martin (article n°147) et ses 4000 brevets, Denis Rancourt et ses disparités flagrantes de la mortalité toutes causes confondues selon les juridictions (article n°151), voici maintenant la Canadienne Christine Massey (M.Sc.) qui a fait valoir son droit à l'information auprès de 178 (nombre en évolution) institutions d'une vingtaine de pays pour demander les preuves de l'isolation-purification du virus SARS-CoV-2 à partir de malades réels.
Pour connaître les réponses, on peut d'abord lire son interview traduite en français à cette page: https://cv19.fr/2021/10/13/le-virus-inexistant-une-interview-explosive-de-christine-massey/
Afin de comprendre la démarche de Christine Massey plus en détail, voici un renvoi vers son site internet où vous pouvez voir la liste des 178 institutions sollicitées. C'est en anglais mais avec le navigateur Chrome, Google Traduction va vous faire ça très bien: https://www.fluoridefreepeel.ca/fois-reveal-that-health-science-institutions-around-the-world-have-no-record-of-sars-cov-2-isolation-purification/
(Note du 20 septembre 2023: Nous ne souscrivons évidemment pas à la thèse absurde selon laquelle aucun virus n'existerait, voire que le phénomène infectieux lui-même n'existerait pas non plus - cf. les charlatans du "taux vibratoire"... Par les temps qui courent, même ce genre d'évidence va mieux en le disant...)
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Enfin, voici mon commentaire à ce sujet sur Profession-gendarme qui avait relayé l'interview le 19 octobre. Pour le comprendre, on pourra se reporter à mon article n°134 sur l'origine artificielle du SARS-CoV-2. (Attention sur ce site aux nombreux agents de Davos se faisant passer pour des opposants au régime. Ils saturent les commentaires de propos volontairement antisémites, racistes, ou ésotériques: reptiliens, extra-terrestres parmi les hommes politiques, taux vibratoire, inexistence des microbes, etc. Le but est d'agiter les opposants et de les couper de la majorité de la population. La Une TV, plateforme de Richard Boutry, fait la même chose.)
(Note: Merci de ne plus confondre les notions suivantes:
- l'existence du virus SARS-CoV-2;
- l'absence de ce virus SARS-CoV-2 chez les prétendus malades de la maladie dite Covid 19;
- l'inexistence de la maladie émergente dite Covid 19.)
Le saviez-vous?
- Les "études" ayant cherché à prouver l'efficacité de l'hydroxychloroquine sur la maladie imaginaire dite Covid 19 ont "calculé" une baisse de la "charge virale" des malades. Or, cette "charge virale" a été "calculée" par le nombre de cycles de tests RT-PCR en temps réel pour obtenir un résultat positif.
- Les prétendus "dosages" du virus SARS-CoV-2 dans les égouts de Marseille ont été "calculés" par le nombre de cycles de tests RT-PCR en temps réel pour obtenir un résultat positif.
- Comme les amorces des kits commerciaux de ces tests RT-PCR sont fantaisistes, comme l'a magistralement montré le président de Tanzanie John Magufuli (probablement assassiné pour avoir dit la vérité) avec sa caille, sa chèvre et sa papaye données positives au test RT-PCR du Covid, ces études n'ont bien sûr aucune valeur. (On rappelle que la polémique des traitements précoces n'a été créée que pour installer l'idée que la maladie imaginaire existait, même dans l'esprit de la portion réfractaire de la population.)
Alors, tous ces morts? De quoi?
Il n'y a pas que la grippe dans la vie. Vous connaissez tous la mortalité officielle de ces dernières années par la grippe (environ dix mille morts par an en France) en raison de l'extraordinaire battage publicitaire pour le vaccin annuel contre le virus de la grippe. David E. Martin a du reste expliqué que la folie corona est venue en quelque sorte en "remplacement" car le vaccin contre la grippe n'a pas eu le succès escompté pour pouvoir l'imposer à la totalité de la population mondiale. On comprend donc que les chiffres de mortalité de la grippe sont sujets à caution depuis les grandes campagnes de vaccination (gratuité pour les plus de 65 ans dès l'année 2000).
Il est donc préférable pour se faire une idée de la situation épidémiologique d'éviter de choisir une année trop proche de l'imposture covidiste planétaire car on a préparé à l'avance les esprits. En 2001, la France a compté 25578 décès par maladies infectieuses (Mortalité par maladies infectieuses en France, Hassina Lefèvre, G. Pavillon, A. Le Toullec, F. Péquignot, E. Jougla, Inserm, Surveillance nationale des maladies infectieuses 2001-2003) soit 5% de la mortalité toutes causes confondues. Les pneumonies ont représenté presque la moitié des décès par maladies infectieuses, 90% d'entre elles touchant les personnes de plus de 65 ans. Cette mortalité par maladies infectieuses n'a cessé de baisser ensuite, en France et dans le monde, par la diminution drastique de la mortalité de la tuberculose, du sida et du paludisme, ainsi que par la diminution de la mortalité des infections respiratoires (lutte plus efficace contre le pneumocoque qui est une bactérie). On comptait 4,25 millions de décès par infections respiratoires dans le monde en 2010. Neuf ans plus tard, ce nombre était tombé à 2,6 millions.
Les infections respiratoires ont des agents pathogènes variés:
1/ Les virus les plus courants font partie de la famille des myxovirus au sens large, qui se divise en deux familles:
- les myxovirus proprement dits, virus à ARN négatif divisé en 6 à 8 segments, d'environ 15 mille nucléotides: Ce sont les virus de la grippe A (tous les H1N1, H1N2... jusqu'au H10N7 d'Egypte de 2004), grippe B (qui touche l'homme et le phoque), C (qui touche l'homme et le porc, rare).
- les paramyxovirus, virus à ARN négatif non segmenté, d'environ 15 mille nucléotides également: Ils comprennent le virus respiratoire syncytial (genre pneumovirus) et les parainfluenzavirus (genre rubulavirus), ces deux genres étant une des causes principales d'hospitalisation du nourrisson, mais aussi des personnes âgées et immunodéprimées. On compte aussi le genre des métapneumovirus.
L'autre famille de virus, celle des coronavirus, grand virus à ARN positif d'environ 30 mille nucléotides, n'est responsable le plus souvent que de rhumes banaux. On les connaît depuis les années soixante, les plus courants étant le 229E et l'OC43.
2/ Les agents bactériens qu'on peut qualifier de "parasites", car ces bactéries ne savent vivre que dans (ou sur) les cellules de leur hôte. Ce sont Chlamydia psittaci, responsable de l'ornithose (souvent bénigne, parfois mortelle) transmise par les oiseaux, Coxiella burnetti, responsable de la fièvre Q transmise par les moutons et d'autres animaux, et Mycoplasma pneumoniae, drôle de bactérie sans paroi rigide (dite mollicute). Tous ces agents bactériens sont principalement sensibles aux antibiotiques de la famille des tétracyclines, qui constituent le traitement de choix.
3/ Les bactéries "autonomes". C'est essentiellement le pneumocoque (dont le traitement de première intention est l'amoxicilline), qui est un streptocoque, la Legionella (présente dans les lacs et rivières stagnantes à plus de 25°C, contamination par inhalation et non par ingestion), responsable de la légionellose, mais aussi les surinfections à staphylocoque, à Haemophilus influenzae (bacille), ou à une entérobactérie (présente naturellement dans le tube digestif) comme Klebsiella pneumoniae (bacille).
4/ Les champignons opportunistes comme ceux du genre Pneumocystis.
On le voit, les différentes infections respiratoires aiguës sont nombreuses, et peuvent par surcroît compliquer un tableau d'infection chronique comme la bronchite chronique où tous les germes sont possibles (sujet âgé, immunodéprimé, mucoviscidose, malformation pulmonaire, drépanocytose, etc.). Le "réservoir" de candidats pour de faux diagnostics Covid 19 par le biais des tests RT-PCR frauduleux est donc considérable. D'autant plus que chemin faisant, on a inclus de plus en plus de symptômes variés (jusqu'à l'absence de symptôme!) dans le tableau de la maladie Covid 19 au fur et à mesure que l'imposture gagnait la crédulité de la population. Un simple rhume à rhinovirus (petit virus à ARN positif d'environ 7000 nucléotides qui n'entraîne jamais d'infection pulmonaire), voire une allergie de pollen, avec altération de l'odorat et du goût, faisait l'affaire...
Cette petite revue me semblait utile pour vous faire comprendre qu'on a pu faire passer pour des malades d'une nouvelle maladie un très grand nombre de malades de maladies très variées.
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L'article suivant n'oubliera pas la rubrique "Technique de l'Alpinisme"...
