Covidisme, suite (mis à jour le 27 octobre) 132
Avertissement du 1er janvier 2023: Attention! cet article a été rédigé avant les révélations de David E. Martin (voir article 147) qui, dans un entretien avec Reiner Fuellmich de juillet 2021, a apporté la démonstration qu'aucune maladie infectieuse nouvelle (dite "émergente") n'est apparue dans le monde à la fin de l'année 2019. Ces révélations ont été ensuite étayées par les FOI (mise en œuvre du droit à l'information dans les pays anglo-saxons par le Freedom Of Information act) de la Canadienne Christine Massey (voir article 153), les travaux du Canadien Denis Rancourt sur les disparités de mortalité toutes causes confondues (voir article 151), et ceux du statisticien français Pierre Chaillot sur les mortalités toutes causes confondues standardisées aux classes d'âge (voir sa chaine Youtube Décoder l'Eco). Je n'ai personnellement commencé à comprendre le véritable rôle de Didier Raoult (tout en continuant à croire en l'existence de la maladie Covid 19 jusque juillet 2021) que courant du mois de novembre 2020 (voir article 137) en intervenant sur le blog manipulateur du médecin Gérard Maudrux (voir article 137 et 138) qui a introduit en France l'ivermectine, continuation de l'hydroxychloroquine, et qui relayait dans le même temps tous les essentiels de la propagande gouvernementale.
"Et vous avez démontré à la France qu'il y a pour elle un embarras: cet embarras, c'est le Pouvoir qui a la prétention de s'élever au-dessus d'elle, de s'attribuer des prérogatives qui lui étaient propres, de lui dicter des lois, quand, en définitive, elle est souveraine, de sorte qu'entre le Pouvoir et elle, il y a incompatibilité absolue." Jules Favre à Emile Ollivier, ministre de la Justice de l'Empereur, interpellation à la Chambre relative au pouvoir constituant, le 4 avril 1870.
"Tout homme bien portant est un malade qui s'ignore." Docteur Knock. (Jules Romain, Le Triomphe de la Médecine, 1923)
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L'épidémie de Covid-19 apparue en France au mois de mars a été de très courte durée. Elle s'essoufflait déjà à la mi-avril, ce qui n'a pas empêché le petit bout de choux de coronavirus assez placide de connaître une notoriété extraordinairement disproportionnée à sa réelle virulence. Las! La surmortalité en France pour les sept premiers mois de l'année 2020 n'est que de l'ordre de 16800 décès, c'est à dire bien loin des plus de 30000 tués calculés par les instances officielles. (voir tableaux en fin d'article)
Quoi qu'il en soit, le petit parasite acellulaire est aujourd'hui en très mauvaise forme. L'être humain est à ce point ingrat qu'il ne libère souvent son hôte qu'en lui dérobant quelques nucléotides, de sorte que notre ami présente aujourd'hui de nombreuses mutations qui sont des signes patents de dégradation. Sans doute encore une prochaine petite victime de la fort célèbre "atteinte à la biodiversité" dont les écologistes nous rebattent les oreilles.
Tandis que les autorités sanitaires nous expliquent doctement que quitter notre masque met en danger la vie d'autrui, les tests PCR, pour récolter ce virus que vous êtes sensés projeter dans les airs dans des quantités dangereuses pour votre entourage, sont bizarrement obligés d'utiliser un très long écouvillon promené longuement à proximité de la lame cribriforme de l'ethmoïde, au-dessus de laquelle se trouve le bulbe olfactif. Contradiction majeure qui reste à élucider... (Les tests en question par le docteur C., médecin, 28/09/2020)
La vérité concernant le risque épidémique actuel est davantage à trouver dans cet appel autour du professeur Toussaint que sur BFMTV ou Radio France. Depuis le mois de mai, l'épidémie de Covid-19 n'existe plus que dans les médias, les quelques décès dus à ce virus étant sporadiques. Les journalistes corrompus ont réussi cet exploit de maintenir le récit fictif pendant tout l'été de façon à reprendre de plus belle à l'automne. Cet écart de plus en plus grand entre la réalité et le monde virtuel des médias eut au moins le mérite de dessiller quelques yeux. (Ecoutez Jean-François Toussaint ici.)
Les mesures prétendument sanitaires sont de plus en plus focalisées sur la destruction illégitime de l'économie et l'endettement déraisonné du pays. Les premiers dépôts de bilan apparaissent, à la grande satisfaction des décideurs. La catastrophe économique qui s'annonce n'est bien sûr pas un effet secondaire d'une lutte sanitaire sans merci contre un dangereux virus mais l'objectif premier de l'instrumentalisation d'une infection respiratoire ordinaire. Il s'agissait de donner un coup d'accélérateur formidable à ce qui avait été déjà programmé pour ruiner l'économie sous l'alibi de la transition écologique. Démanteler une à une les centrales nucléaires ne peut en effet se concevoir comme un acte écologique mais comme une destruction des infrastructures essentielles d'un pays, c'est à dire un acte de guerre, une guerre nouvelle où l'ennemi s'est infiltré jusqu'au cœur des structures de l'Etat. La déclaration de guerre a bien eu lieu, en bonne et due forme, même si vous avez refusé de l'entendre: "Nous sommes en guerre." a promis le plus sérieusement du monde l'adolescent de paille avant de bafouer vos libertés fondamentales garanties par la Constitution. Une chose est sûre: Nous avons tous été avertis clairement.
Pour ceux qui auraient loupé un épisode, le totalitarisme vert, c'est ici. Le Largactil a bien été proposé comme traitement du Covid-19, pour surpasser sans doute les scénarios d'anticipation les plus sombres. |
Bien sûr, toute cette ingénierie sociale n'a pu qu'être longuement préméditée même si le fait déclencheur a été impromptu: l'apparition inopinée d'une épidémie à Wuhan, sans doute à partir du grand marché à viande de la ville. Le classement immédiat de l'hydroxychloroquine (le 13 janvier 2020) pour en interdire sa délivrance sans ordonnance montre qu'on a lancé l'assaut de façon extemporanée; sinon, on s'y serait pris plus tôt pour classer la molécule pour davantage de discrétion. (Réserves de rigueur sur cette affirmation depuis que la thèse de l'origine artificielle du virus, peut-être française, prend de la consistance. Voir article 134.)
L'orientation vers un régime autoritaire avait été amorcée depuis déjà de nombreuses années, au prétexte d'un péril islamiste. Vous avez été Charlie, c'est à dire de bons idiots utiles... Le médecin ophtalmologue Bashar al-Assad a été accusé d'user d'armes chimiques contre sa population comme Saddam Hussein avait été accusé de détenir des armes de destruction massive. Ce premier piège sécuritaire, destiné à remanier la carte du monde, détruire ou isoler les pays rebelles, devait aussi apprendre la peur aux occidentaux. Aujourd'hui encore, Eric Zemmour abreuve le monde de droite de discours anti-islam et des barrières métalliques sont installées devant certaines écoles dans le but prétendu d'empêcher des attentats islamistes contre vos enfants de la même façon que des masques insuffisamment filtrants doivent les protéger d'un virus à la dangerosité imaginaire. Par cette apprentissage de la paranoïa, l'ancienne fabrique du crétin se recycle aujourd'hui dans la production des prochaines jeunesses hitlériennes. (Pour éviter cela, une chanson! et lire ce très bel article de la psychothérapeute Lise Nathanson)
[*Ajout du 4 octobre et voir aussi bonus n°4 en fin d'article: Martine Wonner ne sera pas restée longtemps échouée car elle vient de changer de groupe parlementaire ce 23 septembre pour rejoindre le groupe Libertés et territoires, de façon à donner à la défense urgente de la liberté la priorité, en citant même François Sureau dans son communiqué officiel! Si elle utilise encore à l'occasion l'écriture inclusive ou l'expression "celles et ceux", deux signes de soumission de signification équivalente au port du masque hors situation où celui-ci est utile (c'est à dire, au cœur d'une épidémie - ce qui n'est pas le cas depuis mi-avril - , dans un transport en commun bondé ou lors d'un soin médical, où les personnes sont donc longuement au contact les unes des autres sans pouvoir y échapper), elle a semble-t-il définitivement ouvert les yeux sur le potentiel liberticide infini du régime et la veulerie de ses collègues parlementaires. Retrouvez sa page Twitter dans la bande latérale du blog où elle vient de mériter grandement sa place.]
Il reste alors à savoir pourquoi une grande part de la population française obéit à un discours sanitaire irrationnel. La trahison désespérante d'un grand nombre de médecins qui se sont laissés abuser dans leur propre domaine d'expertise est un élément de réponse. C'est dire si la prolétarisation du médecin, assigné désormais au déroulement parfait du guide de procédure clinique renfermant les références médicales opposables conçues dans une loge obscure du pouvoir (voir note à la page 219 de notre manuel), est déjà bien avancée. Mais la réponse est sans doute plus profonde. Le jazzman Gilad Atzmon donne un éclairage original (pas de lien ici car les deux sites où l'on peut le lire ont d'autres discours qui sont à l'opposé de ma pensée), voulant y voir la victoire de Jérusalem sur Athènes, c'est à dire l'inclination religieuse des populations occidentales, imprégnées de monothéisme, pour l'obéissance à un dieu jaloux, plus forte que leur aspiration à la rationalité. Ainsi obéir serait pour les catholiques* (64% de la population française se disent encore aujourd'hui catholiques même s'ils ne pratiquent plus les rites), les protestants et les musulmans ce qui définirait la première valeur morale des hommes. Autant dire que nous assistons attristés à l'échec du projet positiviste des pères fondateurs de la Troisième République fondé sur la science et les techniques accompagnées bien sûr par les lois scolaires. Gambetta! Briand! Vous avez sorti sans ménagement et à raison le prêtre par la porte de la salle de classe, pour qu'une vision moderne du monde, compatible avec les nouvelles connaissances et leur frais statut de futurs citoyens maîtres de leur destin, soit enseignée aux enfants, mais aujourd'hui, les gourous sécuritaires, les sorciers réchauffistes et les docteurs médiévaux sont revenus par la fenêtre du petit écran. Au secours! Ressuscitez-vous! (Lire aussi ce formidable article de CJ Hopkins du 13 octobre 2020.)
"Mais, Messieurs, est-ce que l'on fait des expériences sur un peuple? et ce mot si froid "d'expérience", lorsqu'il est appliqué au corps social, ne cache-t-il pas tout ce qu'il y a de plus cruel, de plus tragique, de plus douloureux dans les étapes successives de l'humanité? On peut faire des expériences avec un peuple, mais on n'en a pas le droit." Léon Gambetta, discours à la Chambre, le 5 avril 1870.
"Le suffrage universel comprendra que la souveraineté nationale ne se cède pas et qu'on n'en délègue que l'exercice. Ce n'est pas sur le droit que porte le contrat, c'est sur la pratique du droit. Et alors, lorsque le peuple cède une partie de cette souveraineté, il ne constitue pas un maître, mais un serviteur, dans la langue politique, un fonctionnaire. - Quelles sont alors les conséquences? Oh les conséquences sont immenses, c'est que le fonctionnaire sera responsable, sera révocable, sera mobile, électif, et qu'il ne saurait, à aucun degré, constituer une entrave, une barrière à la libre manifestation de la volonté populaire." Ibid.
Quant à ceux qui se croient vertueux en relayant ces différentes propagandes et en faisant la leçon à leurs compatriotes pour le port du masque ou leur "bilan carbone", il est urgent qu'ils lisent ou relisent, cette fois en la comprenant, l'autobiographie de Simone Veil, Une Vie (éditions Stock, 2007): "De temps en temps, une kapo qui se tenait dans un coin de la pièce se mettait à crier ou menaçait certaines d'entre nous de son fouet: on parlait trop fort, on bougeait trop, que sais-je encore." Simone Veil a gagné la considération de la totalité de la population française parce qu'elle ne jugeait pas les hommes selon leur origine mais en raison de leur comportement. Aujourd'hui, pour combattre le triple piège totalitaire, une seule solution, nous dit François Sureau: chérir la liberté d'autrui.
(L'Etat de droit a pris fin dans notre pays depuis le 16 mars 2020. Nos assemblées vont prochainement, pour une trahison de plus, voter la prolongation des pouvoirs exorbitants du gouvernement jusqu'au 1er avril. - Voir Paul Cassia sur Twitter.)
*(Un bémol concernant le catholicisme. L'obéissance à un dieu jaloux n'est pourtant pas l'enseignement principal de cette religion qui est surtout influencée par les Evangiles. Jésus est le compagnon de route infaillible qui accompagne chaque croyant jusque dans la solitude d'un cachot, indulgent devant les mauvaises actions, qui deviennent alors corrigibles, et spectateur éclairé des meilleures. Le regard permanent d'un tel camarade invite à se dépasser et peut donner cette grande confiance en soi qu'on observe chez un alpiniste de l'envergure de Patrick Gabarrou ou encore dans la conduite automobile des jeunes bonnes sœurs qui manient souvent le volant à la grâce de Dieu...)
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Ajout du 5 octobre: Le scrutin à l'Assemblée nationale s'est déroulé le 1er octobre, après minuit! Seuls 46 députés sur les 577 étaient présents et 3 se sont abstenus. Le scrutin à lire ici pour mesurer l'incurie de vos représentants. Attention, le député Jean Lassalle a fait paraître un communiqué en indiquant une erreur de vote qui est en cours de rectification. Non seulement il a voté contre au scrutin du 1er octobre, mais il a voté contre à tous les états d'urgence sanitaire précédents. Le site de l'Assemblée nationale devrait faire la mise à jour prochainement. Ce sont 25 députés qui ont voté pour et non 26. Jean Lassalle mérite donc toute notre considération.
Bonus n°1: Christian Perronne, le 22 septembre, chez André Bercoff, qui, depuis le début de la crise, fait parfaitement le job, rattrapant avec brio sa période "haro sur l'islam". Cliquer sur l'image pour une heure d'entretien!
Morts toutes causes, chiffres de l'Insee, montrant une différence de 16800 décès entre 2020 et 2019, c'est à dire très loin des 30000 décès attribués mensongèrement au Covid-19 . |
Aujourd'hui, la grande question est: Que pouvons-nous faire? La meilleure stratégie est d'essayer de convaincre.