Covidisme, suite (mis à jour le 27 octobre) 132

 Avertissement du 1er janvier 2023: Attention! cet article a été rédigé avant les révélations de David E. Martin (voir article 147) qui, dans un entretien avec Reiner Fuellmich de juillet 2021, a apporté la démonstration qu'aucune maladie infectieuse nouvelle (dite "émergente") n'est apparue dans le monde à la fin de l'année 2019. Ces révélations ont été ensuite étayées par les FOI (mise en œuvre du droit à l'information dans les pays anglo-saxons par le Freedom Of Information act) de la Canadienne Christine Massey (voir article 153), les travaux du Canadien Denis Rancourt sur les disparités de mortalité toutes causes confondues (voir article 151), et ceux du statisticien français Pierre Chaillot sur les mortalités toutes causes confondues standardisées aux classes d'âge (voir sa chaine Youtube Décoder l'Eco). Je n'ai personnellement commencé à comprendre le véritable rôle de Didier Raoult (tout en continuant à croire en l'existence de la maladie Covid 19 jusque juillet 2021) que courant du mois de novembre 2020 (voir article 137) en intervenant sur le blog manipulateur du médecin Gérard Maudrux (voir article 137 et 138) qui a introduit en France l'ivermectine, continuation de l'hydroxychloroquine, et qui relayait dans le même temps tous les essentiels de la propagande gouvernementale.

On sait donc depuis le 20 juillet 2021 grâce à David E. Martin que la maladie dite Covid 19 n'existe pas et n'a jamais existé, et que la bataille des traitements précoces n'a servi qu'à installer une propagande duale, afin de faire exister la maladie imaginaire jusque dans l'esprit de la portion récalcitrante de la population. Didier Raoult a été la pièce maîtresse du dispositif de cette propagande duale, c'est pourquoi il a été encensé continûment par toute une faune d'agents manipulateurs qui se présentaient à nous comme des contestataires de la politique gouvernementale mais qui n'en étaient en réalité que les serviteurs.
Je laisse cet article en l'état pour montrer que la recherche de la réalité passe souvent par des erreurs transitoires qu'il ne faut pas hésiter à rectifier ensuite pour éviter de se faire trop facilement manipuler. On va voir à quel point la dualité de la propagande fonctionnait alors sur mon esprit pourtant critique.
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"Et vous avez démontré à la France qu'il y a pour elle un embarras: cet embarras, c'est le Pouvoir qui a la prétention de s'élever au-dessus d'elle, de s'attribuer des prérogatives qui lui étaient propres, de lui dicter des lois, quand, en définitive, elle est souveraine, de sorte qu'entre le Pouvoir et elle, il y a incompatibilité absolue." Jules Favre à Emile Ollivier, ministre de la Justice de l'Empereur, interpellation à la Chambre relative au pouvoir constituant, le 4 avril 1870.

"Tout homme bien portant est un malade qui s'ignore." Docteur Knock. (Jules Romain, Le Triomphe de la Médecine, 1923)

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 L'épidémie de Covid-19 apparue en France au mois de mars a été de très courte durée. Elle s'essoufflait déjà à la mi-avril, ce qui n'a pas empêché le petit bout de choux de coronavirus assez placide de connaître une notoriété extraordinairement disproportionnée à sa réelle virulence. Las! La surmortalité en France pour les sept premiers mois de l'année 2020 n'est que de l'ordre de 16800 décès, c'est à dire bien loin des plus de 30000 tués calculés par les instances officielles. (voir tableaux en fin d'article)

Si l'on retire à cette surmortalité de 16800 personnes les décès dus aux mesures politiques délétères (confinement à l'intérieur des habitations c'est à dire dans un écosystème insalubre par rapport à l'extérieur, fermeture des structures hospitalières aux pathologies courantes, dépressions et suicides accrus - chaque année, on compte environ 9000 suicides en France -, euthanasies au Rivotril, inhibition de la prescription des médecins, etc.), on comprend qu'il faut fonder d'urgence une Association de Défense des Intérêts du pauvre petit SARS-Cov-2, tant ce très joli mais finalement fragile virus à ARN (les images au microscope sont très belles mais dépendantes du talent artistique du coloriste...) a été diffamé dans la presse et par les autorités sanitaires. Non seulement un grand nombre de morts étiquetés Covid-19 sont morts avec le Covid et non du Covid, mais la plupart ne sont même pas morts avec le Covid car n'ont pas été testés. C'est le cas notamment des pensionnaires des maisons de retraite. On a donc beaucoup, beaucoup, beaucoup menti.


Glacier du Tour, colloque au sommet

Quoi qu'il en soit, le petit parasite acellulaire est aujourd'hui en très mauvaise forme. L'être humain est à ce point ingrat qu'il ne libère souvent son hôte qu'en lui dérobant quelques nucléotides, de sorte que notre ami présente aujourd'hui de nombreuses mutations qui sont des signes patents de dégradation. Sans doute encore une prochaine petite victime de la fort célèbre "atteinte à la biodiversité" dont les écologistes nous rebattent les oreilles.

Tandis que les autorités sanitaires nous expliquent doctement que quitter notre masque met en danger la vie d'autrui, les tests PCR, pour récolter ce virus que vous êtes sensés projeter dans les airs dans des quantités dangereuses pour votre entourage, sont bizarrement obligés d'utiliser un très long écouvillon promené longuement à proximité de la lame cribriforme de l'ethmoïde, au-dessus de laquelle se trouve le bulbe olfactif. Contradiction majeure qui reste à élucider... (Les tests en question par le docteur C., médecin, 28/09/2020)

La vérité concernant le risque épidémique actuel est davantage à trouver dans cet appel autour du professeur Toussaint que sur BFMTV ou Radio France. Depuis le mois de mai, l'épidémie de Covid-19 n'existe plus que dans les médias, les quelques décès dus à ce virus étant sporadiques. Les journalistes corrompus ont réussi cet exploit de maintenir le récit fictif pendant tout l'été de façon à reprendre de plus belle à l'automne. Cet écart de plus en plus grand entre la réalité et le monde virtuel des médias eut au moins le mérite de dessiller quelques yeux. (Ecoutez Jean-François Toussaint ici.)

Les mesures prétendument sanitaires sont de plus en plus focalisées sur la destruction illégitime de l'économie et l'endettement déraisonné du pays. Les premiers dépôts de bilan apparaissent, à la grande satisfaction des décideurs. La catastrophe économique qui s'annonce n'est bien sûr pas un effet secondaire d'une lutte sanitaire sans merci contre un dangereux virus mais l'objectif premier de l'instrumentalisation d'une infection respiratoire ordinaire. Il s'agissait de donner un coup d'accélérateur formidable à ce qui avait été déjà programmé pour ruiner l'économie sous l'alibi de la transition écologique. Démanteler une à une les centrales nucléaires ne peut en effet se concevoir comme un acte écologique mais comme une destruction des infrastructures essentielles d'un pays, c'est à dire un acte de guerre, une guerre nouvelle où l'ennemi s'est infiltré jusqu'au cœur des structures de l'Etat. La déclaration de guerre a bien eu lieu, en bonne et due forme, même si vous avez refusé de l'entendre: "Nous sommes en guerre." a promis le plus sérieusement du monde l'adolescent de paille avant de bafouer vos libertés fondamentales garanties par la Constitution. Une chose est sûre: Nous avons tous été avertis clairement.

Triple piège totalitaire
Pour ceux qui auraient loupé un épisode, le totalitarisme vert, c'est ici. Le Largactil a bien été proposé comme traitement du Covid-19, pour surpasser sans doute les scénarios d'anticipation les plus sombres.

Bien sûr, toute cette ingénierie sociale n'a pu qu'être longuement préméditée même si le fait déclencheur a été impromptu: l'apparition inopinée d'une épidémie à Wuhan, sans doute à partir du grand marché à viande de la ville. Le classement immédiat de l'hydroxychloroquine (le 13 janvier 2020) pour en interdire sa délivrance sans ordonnance montre qu'on a lancé l'assaut de façon extemporanée; sinon, on s'y serait pris plus tôt pour classer la molécule pour davantage de discrétion. (Réserves de rigueur sur cette affirmation depuis que la thèse de l'origine artificielle du virus, peut-être française, prend de la consistance. Voir article 134.)

L'orientation vers un régime autoritaire avait été amorcée depuis déjà de nombreuses années, au prétexte d'un péril islamiste. Vous avez été Charlie, c'est à dire de bons idiots utiles... Le médecin ophtalmologue Bashar al-Assad a été accusé d'user d'armes chimiques contre sa population comme Saddam Hussein avait été accusé de détenir des armes de destruction massive. Ce premier piège sécuritaire, destiné à remanier la carte du monde, détruire ou isoler les pays rebelles, devait aussi apprendre la peur aux occidentaux. Aujourd'hui encore, Eric Zemmour abreuve le monde de droite de discours anti-islam et des barrières métalliques sont installées devant certaines écoles dans le but prétendu d'empêcher des attentats islamistes contre vos enfants de la même façon que des masques insuffisamment filtrants doivent les protéger d'un virus à la dangerosité imaginaire. Par cette apprentissage de la paranoïa, l'ancienne fabrique du crétin se recycle aujourd'hui dans la production des prochaines jeunesses hitlériennes. (Pour éviter cela, une chanson! et lire ce très bel article de la psychothérapeute Lise Nathanson)

Montée du totalitarisme
Echapper à une doctrine totalitaire pour tomber dans une autre est une démarche vaine. On évitera ainsi de croire que la chaîne CNews qui relaie J.F.Toussaint est le salut car elle est aussi en première ligne pour vendre la propagande sécuritaire. Ou encore Martine Wonner, psychiatre et députée alsacienne, courageuse pour s'être levée contre la dérive totalitaire sanitaire mais malencontreusement échouée sur la plage faussement idyllique du totalitarisme vert en rejoignant le groupe  Ecologie démocratie solidarité.*

[*Ajout du 4 octobre et voir aussi bonus n°4 en fin d'article: Martine Wonner ne sera pas restée longtemps échouée car elle vient de changer de groupe parlementaire ce 23 septembre pour rejoindre le groupe Libertés et territoires, de façon à donner à la défense urgente de la liberté la priorité, en citant même François Sureau dans son communiqué officiel! Si elle utilise encore à l'occasion l'écriture inclusive ou l'expression "celles et ceux", deux signes de soumission de signification équivalente au port du masque hors situation où celui-ci est utile (c'est à dire, au cœur d'une épidémie - ce qui n'est pas le cas depuis mi-avril  - , dans un transport en commun bondé ou lors d'un soin médical, où les personnes sont donc longuement au contact les unes des autres sans pouvoir y échapper), elle a semble-t-il définitivement ouvert les yeux sur le potentiel liberticide infini du régime et la veulerie de ses collègues parlementaires. Retrouvez sa page Twitter dans la bande latérale du blog où elle vient de mériter grandement sa place.]

Il reste alors à savoir pourquoi une grande part de la population française obéit à un discours sanitaire irrationnel. La trahison désespérante d'un grand nombre de médecins qui se sont laissés abuser dans leur propre domaine d'expertise est un élément de réponse. C'est dire si la prolétarisation du médecin, assigné désormais au déroulement parfait du guide de procédure clinique renfermant les références médicales opposables conçues dans une loge obscure du pouvoir (voir note à la page 219 de notre manuel), est déjà bien avancée. Mais la réponse est sans doute plus profonde. Le jazzman Gilad Atzmon donne un éclairage original (pas de lien ici car les deux sites où l'on peut le lire ont d'autres discours qui sont à l'opposé de ma pensée), voulant y voir la victoire de Jérusalem sur Athènes, c'est à dire  l'inclination religieuse des populations occidentales, imprégnées de monothéisme, pour l'obéissance à un dieu jaloux, plus forte que leur aspiration à la rationalité. Ainsi obéir serait pour les catholiques* (64% de la population française se disent encore aujourd'hui catholiques même s'ils ne pratiquent plus les rites), les protestants et les musulmans ce qui définirait la première valeur morale des hommes. Autant dire que nous assistons attristés à l'échec du projet positiviste des pères fondateurs de la Troisième République fondé sur la science et les techniques accompagnées bien sûr par les lois scolaires. Gambetta! Briand! Vous avez sorti sans ménagement et à raison le prêtre par la porte de la salle de classe, pour qu'une vision moderne du monde, compatible avec les nouvelles connaissances et leur frais statut de futurs citoyens maîtres de leur destin, soit enseignée aux enfants,  mais aujourd'hui, les gourous sécuritaires, les sorciers réchauffistes et les docteurs médiévaux sont revenus par la fenêtre du petit écran. Au secours! Ressuscitez-vous! (Lire aussi ce formidable article de CJ Hopkins du 13 octobre 2020.)

"Mais, Messieurs, est-ce que l'on fait des expériences sur un peuple? et ce mot si froid "d'expérience", lorsqu'il est appliqué au corps social, ne cache-t-il pas tout ce qu'il y a de plus cruel, de plus tragique, de plus douloureux dans les étapes successives de l'humanité? On peut faire des expériences avec un peuple, mais on n'en a pas le droit." Léon Gambetta, discours à la Chambre, le 5 avril 1870.

"Le suffrage universel comprendra que la souveraineté nationale ne se cède pas et qu'on n'en délègue que l'exercice. Ce n'est pas sur le droit que porte le contrat, c'est sur la pratique du droit. Et alors, lorsque le peuple cède une partie de cette souveraineté, il ne constitue pas un maître, mais un serviteur, dans la langue politique, un fonctionnaire. - Quelles sont alors les conséquences? Oh les conséquences sont immenses, c'est que le fonctionnaire sera responsable, sera révocable, sera mobile, électif, et qu'il ne saurait, à aucun degré, constituer une entrave, une barrière à la libre manifestation de la volonté populaire." Ibid.

Quant à ceux qui se croient vertueux en relayant ces différentes propagandes et en faisant la leçon à leurs compatriotes pour le port du masque ou leur "bilan carbone", il est urgent qu'ils lisent ou relisent, cette fois en la comprenant, l'autobiographie de Simone Veil, Une Vie (éditions Stock, 2007): "De temps en temps, une kapo qui se tenait dans un coin de la pièce se mettait à crier ou menaçait certaines d'entre nous de son fouet: on parlait trop fort, on bougeait trop, que sais-je encore." Simone Veil a gagné la considération de la totalité de la population française parce qu'elle ne jugeait pas les hommes selon leur origine mais en raison de leur comportement. Aujourd'hui, pour combattre le triple piège totalitaire, une seule solution, nous dit François Sureau: chérir la liberté d'autrui.

Simone Veil, Une Vie

(L'Etat de droit a pris fin dans notre pays depuis le 16 mars 2020. Nos assemblées vont prochainement, pour une trahison de plus, voter la prolongation des pouvoirs exorbitants du gouvernement jusqu'au 1er avril. - Voir Paul Cassia sur Twitter.)

*(Un bémol concernant le catholicisme. L'obéissance à un dieu jaloux n'est pourtant pas l'enseignement principal de cette religion qui est surtout influencée par les Evangiles. Jésus est le compagnon de route infaillible qui accompagne chaque croyant jusque dans la solitude d'un cachot, indulgent devant les mauvaises actions, qui deviennent alors corrigibles, et spectateur éclairé des meilleures. Le regard permanent d'un tel camarade invite à se dépasser et peut donner cette grande confiance en soi qu'on observe chez un alpiniste de l'envergure de Patrick Gabarrou ou encore dans la conduite automobile des jeunes bonnes sœurs qui manient souvent le volant à la grâce de Dieu...)

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Ajout du 5 octobre: Le scrutin à l'Assemblée nationale s'est déroulé le 1er octobre, après minuit! Seuls 46 députés  sur les 577 étaient présents et 3 se sont abstenus. Le scrutin à lire ici pour mesurer l'incurie de vos représentants.  Attention, le député Jean Lassalle a fait paraître un communiqué en indiquant une erreur de vote qui est en cours de rectification. Non seulement il a voté contre au scrutin du 1er octobre, mais il a voté contre à tous les états d'urgence sanitaire précédents. Le site de l'Assemblée nationale devrait faire la mise à jour prochainement. Ce sont 25 députés qui ont voté pour et non 26. Jean Lassalle  mérite donc toute notre considération.

Bonus n°1: Christian Perronne, le 22 septembre, chez André Bercoff, qui, depuis le début de la crise, fait parfaitement le job, rattrapant avec brio sa période "haro sur l'islam". Cliquer sur l'image pour une heure d'entretien!


Bonus n°2: Une petite dernière pour les cuistres qui, n'ayant rien d'autre à dire, croient devoir corriger tous ceux qui utilisent Covid-19 au masculin. Laser, acronyme de Light Amplification by Stimulated Emission of Radiation, et Radar, acronyme de Radio Detection And Raging, sont de genre masculin en français alors que les expressions dont ils sont issus sont de genre féminin. En matière d'acronyme, c'est l'usage qui l'emporte. Et comme il s'agit d'un acronyme qui vient d'être inventé, on fait comme on veut, en toute liberté, quels que soient les braillements des perroquets.


Le terrifiant dérèglement climatique

Bonus n°3: Certains pourraient penser qu'on s'emballe un peu vite à convoquer le lourd passif européen en matière totalitaire (Philippe le Bel est l'inventeur, puis dictature de Cromwell, terreur révolutionnaire de 1793-94, bonapartisme oncle puis neveu, fascisme prenant la suite de la dictature parlementaire de Giolitti, franquisme, enfin nazisme) et qu'il n'y a pas lieu de s'exciter autant devant des mesures de police sanitaire proportionnées et dignes d'une démocratie. Ils vont déchanter en jetant par-dessus leurs œillères habituelles un court regard sur les avis de la Commission Nationale Consultative des Droits de l'Homme présidée par Jean-Marie Burguburu. Surtout cet avis du 26 mai 2020. Comme on le voit, le gouvernement, qui suit une feuille de route précise ordonnée par ses commanditaires, n'en a tenu aucun compte. Les mesures autoritaires les plus farfelues cherchent à installer la terreur: interdiction de transporter des instruments de musique dans son véhicule en Bretagne, interdiction de recevoir des invités à la maison au Canada avec perquisition possible du domicile pour vérification. A ce stade, penser encore que les gouvernements occidentaux bienveillants luttent contre un méchant virus pour protéger efficacement les populations qu'ils chérissent ne relève plus de la niaiserie mais de l'arriération mentale.
Avis du CNCDH du 26 mai 2020

Bonus n°4: Le discours de Martine Wonner le 1er octobre 2020 à la Chambre. Nous alertons les historiens du futur pour modérer leur férocité dans la description de la couardise lamentable des parlementaires de l'année 2020. Une députée s'est levée! D'apparence frêle, émue par sa propre bravoure qu'elle se découvre dans cet épisode totalitaire exceptionnel, elle a morigéné à elle toute seule la débile assemblée pour défendre l'Etat de droit et nos libertés fondamentales. Cette députée se nomme Martine Wonner. Retenez bien son nom pour qu'il figure en bonne place dans vos manuels d'histoire destinés aux écoliers du 22e siècle.



Ajout du 15 octobre: Comme à la Samaritaine, il se passe tous les jours quelque chose au sein des régimes nazi. [Quand on parle de couvre-feu, on entend le bruit des bottes, à moins d'être particulièrement sourd. De nombreux éléments justifient cette référence historique: - la volonté récurrente de surveiller la population (vidéosurveillance extensive, radars de nouvelle génération dit "intelligents", achats massifs de drones, applications de traçage anti-covid, nouveau fichier pour les détenteurs d'armes recueillant des informations personnelles comme l'inclination sexuelle ou la pratique religieuse); - la tentative d'établir des camps au prétexte d'isolement et de quarantaine médicales (qui devaient dans l'avant-projet de la loi du 11 mai s'appliquer à tous les Français même déjà présents sur le territoire national, avec encore le sénateur Alain Milon revenu à la charge sur le sujet pendant les débats, heureusement remis à sa place par Philippe Bas) et la volonté de séparer, et donc briser, les familles avec les interdictions ou limitations de visites dans les EHPAD ou dans les services de réanimation; - la fascination morbide pour les corps, avec cette volonté d'y faire entrer de force des objets ou des substances (tests PCR imposés, volonté de rendre les futurs vaccins obligatoires, en violation de l'obligation légale d'obtenir le consentement éclairé des malades pour réaliser un acte médical), avec également l'interdiction ou l'intimidation contre la libre prescription des médecins (hydroxychloroquine, mais également azithromycine); - l'incitation à l'euthanasie par décret, l'injection de Rivotril étant la solution finale imaginée pour les vieillards qui toussent, crimes permettant de grossir les statistiques lesquelles autorisent à accentuer les mesures autoritaires; - la volonté de terroriser la population en construisant les périls fantasmés, et omniprésents dans la propagande, du réchauffement climatique, de l'islamisme et du risque infectieux; - enfin l'utilisation de la violence d'Etat, l'arrachage des mains et des yeux des gilets jaunes ayant la valeur de la bestialité des S.A. de l'Allemagne nazie, les nouvelles commandes massives d'armes dangereuses destinées aux manifestants donnant une idée des intentions futures en la matière.]
Dans la nuit du mardi 13 au mercredi 14 octobre, les sénateurs avaient commencé l'examen du projet de loi adopté par les députés le 1er octobre, jusqu'à une heure tardive (0h30). Et patatras, mercredi, alors que le Sénat devait reprendre cet examen à partir de 16h30, le gouvernement a fait savoir qu'il le retirait de l'ordre du jour. Ce texte ne sera donc pas appliqué. Et vers 19h ce même mercredi 14 octobre, un communiqué de l'Elysée est envoyé aux salles de rédactions indiquant qu'un décret réinstaurant l'état d'urgence sanitaire a été promulgué dans la matinée en Conseil des ministres pour 1 mois à partir du vendredi 17 octobre à minuit.
Le gouvernement a-t-il cru à une résistance du Sénat, lequel a déjà été à l'initiative de l'anéantissement de la loi Avia ainsi que de la pulvérisation de la loi sur les détentions de terroristes qui ont purgé leur peine, en saisissant avec succès le Conseil constitutionnel (excellentes actions de Laurent Fabius qui devient digne dans la crise)? Ou veut-il hâter les choses dans la destruction plus complète des libertés individuelles et le piétinement de la Constitution, profitant de la servilité caricaturale du Conseil d'Etat? Il s'agit bien sûr d'une nouvelle forfaiture puisque les seuls indicateurs en hausse sont les nombres de tests PCR positifs qui, comme chacun le sait maintenant, peuvent être rendus positifs chez quasiment n'importe qui, en multipliant le nombre de cycles de réplication du morceau d'ARN correspondant à l'amorce. Depuis la mi-avril, il n'existe aucune épidémie de SARS-Cov-2 en France. Et l'on fait entrer dans les services de réanimation des malades divers qui n'ont absolument rien à y faire, alors que nombreux d'entre eux pourraient par exemple repartir avec une ordonnance d'oxygène à respirer tranquillement à la maison. Jusqu'où va-t-on descendre avant qu'une masse critique de la population prenne enfin conscience qu'il ne s'agit nullement d'une épidémie mais d'une attaque caractérisée et systématique contre les forces vives de notre pays?

Ajout du 17 octobre: André Bercoff, décidément formidable, reçoit de nouveau Christian Perronne pour une demi-heure d'entretien. Souhaitons que le départ surprise de Didier Maïsto de la tête de Sud Radio n'en change pas la ligne éditoriale, mais aussi, qu'André Bercoff ne se laissera pas manipuler par la décapitation extraordinaire d'un enseignant, si tant est que cet attentat - providentiel pour le pouvoir - ait été bien réel. André Bercoff et d'autres pourraient alors relire avec profit le petit livre de Victor Malka (animateur regretté et irremplaçable de l'émission Ecoute Israël sur France Culture), Avons-nous assez divagué... Lettre à mes amis musulmans (Albin Michel 2006) qui décrit les manipulations visant à dresser les juifs contre les musulmans dans le Maroc des années cinquante. Cliquer sur l'image pour suivre l'émission.


Tout nous interdire
"Agiter le peuple avant de s'en servir, sage maxime" disait le vil Talleyrand. Au contraire, prônons la concorde et refusons de nous porter caution pour de nouvelles provocations injurieuses envers une religion. Le danger vient clairement de ceux qui essaient de faire passer assignations à domicile et couvre-feux pour des mesures de santé publique alors qu'il ne s'agit que de la basse police d'un régime autoritaire qui ne respecte plus la Constitution.

La liberté selon François Sureau
Principe d'Antoine (détourné): "Toute société, particulièrement humaine, même la plus simple, connaît un état normal, naturel, stable, appelé "féodalité". On peut dans certains cas, au prix d'efforts constants et pour une durée toujours limitée, la maintenir dans un état anormal et parfaitement instable, appelé "état de droit".

Le véritable texte, issu de l'excellent ouvrage de l'auteur Mettre les Voiles avec Antoine, Arthaud éditions, 1983-2001 est le suivant:
"Toute mécanique, particulièrement nautique, même la plus simple, connaît un état normal, stable, appelé "état de panne". On peut dans certains cas, au prix d'efforts constants et pour une durée toujours limitée, la maintenir dans un état anormal et parfaitement instable, appelé "état de marche".

Ajout du 27 octobre:
Vos députés se sont de nouveau illustrés ce 24 octobre en adoptant le texte de prorogation de l'état d'urgence sanitaire qui avait commencé le 17 octobre à minuit pour une durée d'un mois. Lire l'affligeant scrutin ici. Seuls 35 députés ont voté contre, sur 106 suffrages exprimés alors que les Français nourrissent tous les jours à leurs frais 577 pieds-nickelés. Il est prévu dans la loi votée de continuer cet état d'urgence sanitaire jusqu'au 16 février 2021 et de le faire suivre par le régime transitoire de "sortie de l'état d'urgence" (appellation mensongère qui maintient des pouvoirs exorbitants au gouvernement) jusqu'au 1er avril 2021. Le texte est actuellement examiné à la haute assemblée où une poignée de sénateurs vont tenter de mimer une apparence de démocratie dans ce défoulement sans limite et durable contre nos libertés fondamentales. 

Bien entendu, il n'existe dans notre pays toujours aucune épidémie réelle de SARS-Cov-2 depuis mai, seulement une épidémie de tests PCR positifs dont les RT (nombre de cycles d'amplification de l'ARN) sont trop élevés pour être honnêtes. Cette épidémie de tests "bidons" selon l'expression appropriée du professeur Perronne, étant doublée d'une épidémie - très grave celle-là - de mauvaise foi.

Morts toutes causes en 2019
Morts toutes causes, chiffres de l'Insee, montrant une différence de 16800 décès entre 2020 et 2019, c'est à dire très loin des 30000 décès attribués mensongèrement au Covid-19 .

Morts toutes causes 2020

Aujourd'hui, la grande question est: Que pouvons-nous faire? La meilleure stratégie est d'essayer de convaincre.
Si chaque personne convaincue réussit à convaincre une seule autre personne, la progression du nombre de personnes convaincues sera exponentielle. L'objectif est d'atteindre une masse critique de personnes ayant ouvert les yeux avant que les premières violences (probablement suite à des provocations du pouvoir, notamment en injuriant gravement les musulmans au prétexte d'enseigner la liberté d'expression à l'école - sic!) n'apparaissent . Une fois cette masse critique atteinte, des notables - juristes, magistrats, hauts fonctionnaires, élus, policiers, militaires, médecins, journalistes indépendants, philosophes, artistes, etc. -  se sentiront portés, s'organiseront, et oseront s'engager pour rétablir la démocratie. Vous n'aurez évidemment pas à intervenir sur le terrain, des professionnels s'en chargeront dans le domaine de leurs compétences. Au XIXe siècle, le rituel était devenu classique (1830, 1848, 1870). Après quelques échauffourées dans les rues de Paris, des personnages apparaissaient  au balcon de l'Hôtel de Ville et proclamaient, qui la charte de Louis-Philippe, qui la République, en faisant acclamer le nouveau pouvoir par la foule. Notre nation connaît ça par cœur.

Le message principal à faire passer est que cette affaire n'est pas une crise sanitaire mais une crise politique majeure.
Le second message important est médical: Les infections ORL, respiratoires et digestives sont favorisées à la mauvaise saison par la vie recluse à l'intérieur des habitations. Le confinement et autres couvre-feux ne peuvent donc en aucune façon être considérés comme des mesures de santé publique.