Retour sur le Grand Jury: Jours 2 et 4 (et élections, fausse résistance) 161

Avertissement du 20 octobre 2023: Voir l'avertissement placé en tête de notre article n°159.

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Retour sur les débats du Grand Jury - Les traductions des différentes journées sont proposées sur la chaîne Odysee Jeanne Traduction. Pour l'instant seules les trois premières journées ont été traduites.

Jour 2: Le contexte historique


Alex Thompson, ancien salarié de l'agence de renseignement britannique GCHQ (partenaire de la NSA), a ouvert les débats de la deuxième journée en apportant un éclairage sur l'origine de la puissance mondiale de l'association criminelle internationale qui bafoue nos libertés fondamentales de façon particulièrement voyante depuis maintenant deux années. La puissance dominante dans le monde est pour lui la City de Londres, cœur financier de l'Empire britannique, qui s'est préparée à établir sa domination durable à partir de 1870 environ.


Alex Thompson, traduit par Jeanne Traduction (Cliquer sur l'image ou la légende pour voir la vidéo.)

Cette date de 1870, répétée plusieurs fois, mérite qu'on s'attarde sur la situation de l'Angleterre de la seconde moitié du XIXe siècle. Le lecteur de notre manuel d'alpinisme ne sera guère surpris par la précocité de l'hégémonie britannique en se souvenant (cf. page10 du manuel) que durant les 11 années de ce qu'on a appelé l'âge d'or de l'alpinisme (1854-1865), sur 39 ascensions importantes, 31 furent accomplies par des Anglais, belle expression écrivions-nous du Rule Britannia! C'est que la période de 1851 à 1870 marqua l'apogée de l'Angleterre victorienne dont le démarrage industriel datait déjà de la fin du XVIIIe siècle. Le rail aura vingt années d'avance sur la France. L'Exposition Universelle de 1851 se déroule à Londres. Dickens venait de publier David Copperfield en 1849, Emily Brontë Les Hauts de Hurlevent en 1847. Darwin publiait De l'Origine des Espèces en 1859, Lewis Carroll Alice au Pays des Merveilles en 1865. Les hommes de Londres et du Foreign Office défendent les intérêts commerciaux et stratégiques de l'Angleterre, première puissance mondiale de 1815 (dès les coalitions contre Napoléon, Londres était l'indispensable banquier et l'on disait « l'or de Pitt » avant le décès du second Pitt en 1806) à 1870, avec efficacité, rien ne pouvant se faire dans le monde sans sa permission ou sa tolérance. La politique fut d'abord dirigée par Lord Palmerston jusqu'à sa mort à l'âge de 81 ans en 1865. Deux années plus tard, les deux chefs de partis (tous deux anciens ministres du tory Robert Peel) Benjamin Disraeli (courant conservateur des Jeune-Angleterre, Premier ministre la première fois en août 1867) puis William Gladstone (ancien tory rallié aux whigs sous l'étiquette de libéral, Premier ministre la première fois en décembre 1868) prirent l'habitude d'alterner dans la direction des affaires. La pratique du libre-échange, formelle depuis l'abolition des droits sur le blé en 1846 et le rétablissement de l'Income Tax en 1842 par Peel, conjuguée à l'avance industrielle font de l'Angleterre l'atelier du monde, lequel évite soigneusement les conflits marquant le continent à l'exception de la guerre de Crimée (octobre 1853 à mars 1856). Les lois d'élargissement électoral (doublement de l'électorat en 1867 par Disraeli, 60% des hommes deviennent électeurs en 1884 par Gladstone) et l'institution du vote à bulletin secret (Gladstone en 1872) permettent de rester à l'écart de l'agitation républicaine et attachent la population à la reine Victoria (1819-1901, reine à partir de 1837), intéressée aux affaires surtout depuis le décès de son mari en 1861, et qui n'hésite pas à surveiller de près la composition des ministères en soutenant notamment Melbourne, Peel puis Disraeli. La question irlandaise reste prégnante pendant toute la période, et ce depuis la grande crise agricole de 1845 qui avait entraîné une terrible famine en Irlande, moteur d'une émigration de masse aux Etats-Unis impactant les vingt années suivantes.

La loi d'élargissement électoral de 1867 favorisa en 1868 le libéral Gladstone. Mais celui-ci adopta une politique extérieure pacifique marquant l'effacement de l'Angleterre sur le plan international. L'habileté diplomatique du chancelier Bismarck trouvera sa consécration dans la victoire allemande contre la France, avec proclamation de l'Empire d'Allemagne le 18 janvier 1871 au Palais des Glaces de Versailles. La Russie d'Alexandre II, très germanisée, alliée de la Prusse depuis le soulèvement de la Pologne en 1863-64, se constituait une flotte et commençait à s'imposer comme puissance mondiale (Vladivostok, « maître de l'Orient » en russe, est fondée en 1860), forte d'une armée comptant en 1866 700000 hommes, crainte de toute l'Europe.

En raison du discrédit de cette politique extérieure de Gladstone et des ambitions d'expansion en Egypte, Disraeli redevient Premier ministre en février 1874, et c'est ce second ministère qui va marquer l'impérialisme britannique triomphant. La reine est faite Impératrice des Indes en mai 1876 (Canning avait transformé la Compagnie des Indes Orientales en colonie anglaise dès 1858, profitant de la révolte des Cipayes).

L'été 1875 est très instructif puisqu'une série de mauvaises récoltes frappe l'agriculture britannique qui subit par surcroît la concurrence américaine. Dans ces conditions, Disraeli aurait pu remettre en cause la doctrine du libre-échange, d'autant qu'il n'avait pas hésité à rompre avec son chef Peel en 1846 pour défendre l'ancienne tradition protectionniste du royaume. S'il ne le fait pas, c'est que l'élargissement électoral de 1867 avait donné un tel poids électoral aux ouvriers des villes, lesquels étaient bien décidés à conserver un pain bon marché, qu'aucun parti ne se risquait plus à proposer de réintroduire un tarif douanier pour le blé. Ce fut l'Irlande, essentiellement agricole, qui en paya encore le prix, la crise agricole provoquant une crise sociale avec recrudescence de la criminalité. Dès lors, les deux partis dominants ne faisaient plus que reproduire une même politique, Gladstone et Disraeli ne pouvant plus se distinguer que pour les affaires extérieures.

Précisément, ces affaires extérieures se présentaient au mieux. L'endettement d'Ismaïl Pacha vis à vis de Londres l'obligeait à vendre ses actions de la Compagnie du canal de Suez, l'Angleterre devenant l'actionnaire majoritaire en novembre 1875. L'année suivante, le khédive suspendait le paiement de sa dette et se voyait imposer un contrôle financier franco-britannique (le ministre des Finances d'Egypte devient britannique et le ministre des Travaux publics, français).

La même année, 1876, est mise en service la première ligne de chemin de fer en Chine, fruit d'un long travail de onze années de tractations diverses, mais la Chine résiste encore, détruisant cette ligne l'année suivante après que l'Empereur l'ait rachetée.

En 1878, la menace d'une guerre avec l'Angleterre, conjuguée à la pression diplomatique de Vienne, empêche in extremis les Russes d'envahir Constantinople, ultime évolution de la crise balkanique sur fond d'émancipation des peuples chrétiens (Roumanie, Serbie, Bulgarie, Bosnie) contre la Porte Sublime décadente. Le traité de Berlin de juillet, retouchant celui de San Stefano de mars, marque l'effacement de la France, l'Angleterre apparaissant comme la seule puissance « protectrice des détroits » devant une Russie subissant la plus humiliante défaite diplomatique de son histoire (le ministre des Affaires étrangères Gortchakov n'ayant pas réussi à obtenir le soutien de Bismarck). La Bulgarie se trouve coupée en deux, sans accès à la mer Egée.

En avril 1880, Gladstone redevient Premier ministre, les raisons ayant fait chuté Disraeli (qui meurt l'année suivante à 77 ans) étant les mêmes que celles qui avaient fait tomber Gladstone en 1874 : la politique étrangère. L'humaniste Gladstone avait réussi à émouvoir l'opinion sur la question bulgare (Alexandre II avait réussi à imposer son neveu à la tête du pays en 1879), voulant envoyer une aide. Les troubles en Afrique du Sud, prémices de la première guerre des Boers, et ceux en Inde, avaient entraîné des difficultés économiques en métropole, tandis que la situation en Irlande ne se remettait pas de la crise de 1875.

Gladstone, refusant tout protectionnisme, crut résoudre la question irlandaise en rendant l'enseignement primaire obligatoire (mais qui ne deviendra gratuit qu'en 1891). La colonie britannique du Natal annexa le Transvaal, provoquant l'insurrection de Paul Kruger. Les Boers l'emportent en 1881. En 1882, à la faveur de la révolte nationaliste du colonel Arabi Pacha dûment réprimée (6 vaisseaux britanniques et 6 vaisseaux français sont envoyés devant Alexandrie en mai), le fils d'Ismaïl Pacha est rétabli en septembre sous protection anglaise. Dès lors, le maître de l'Egypte devient le consul britannique.

En avril 1885, Gladstone perd son ministère sur la question irlandaise au profit du conservateur Robert Gascoyne-Cecil, marquis de Salisbury. C'est que l'élargissement électoral de 1884, conjugué au vote secret de 1872 qui avait fait apparaître un Parti Irlandais, portait celui-ci à un nombre de 80 députés. Pratiquant une politique de bascule dans le but d'obtenir le Home Rule (l'indépendance de l'Irlande), Parnell, chef déterminé du Parti Irlandais, avait fait voter tous les scrutins alignés sur les conservateurs. Devant cette manœuvre électoraliste, Gladstone avait alors pensé leur accorder le Home Rule pour pouvoir les évincer de Westminster. Mais d'autres voulaient améliorer la situation économique en Irlande, accepter une large décentralisation administrative, mais sauver l'unité politique. Ceci entraîna, avec grand renfort de campagne émotionnelle (protection de nos « frères protestants » d'Irlande contre les méchants « papistes ») une scission du parti libéral avec sécession des Unionistes autour de Joseph Chamberlain, chef de l'aile gauche du parti libéral.

Salisbury, qui cumulera le ministère des Affaires étrangères, va accentuer la politique impériale et appliquer une répression systématique en Irlande.

En février 1887, il rompt avec le « splendide isolement » de l'Angleterre victorienne en signant un accord secret avec l'Italie, dans le cadre du renouvellement de la Triple Alliance voulu par Bismarck suite aux gesticulations de notre fringuant général Boulanger, dit « la Revanche », ministre de la Guerre depuis janvier 1886 (Bismarck avait rappelé 70000 réservistes à la suite de l'établissement du baraquement de Belfort, de l'interdiction d'exportation des chevaux, et avant cela de la mise en service du nouveau fusil Lebel pour égaler le fusil Mauser à 8 coups de l'Allemagne). L'accord secret entre l'Angleterre et l'Italie était le fruit de l'ingéniosité de Bismarck car la Triple Alliance prévoyait qu'en cas d'expansion française en Tripolitaine, l'Allemagne devait se porter au secours de l'Italie. Faire entrer l'Angleterre dans le jeu permettait de verrouiller les ambitions italiennes.

En novembre de la même année, une manifestation à Londres de soutien aux Irlandais est réprimée dans le sang par Salisbury, faisant 3 morts et 150 blessés. On appellera ce jour le Bloody Sunday.

En octobre 1888, la Convention d'Istanbul règle le statut international du canal de Suez, qui prévoit son ouverture à tous les navires marchands en temps de paix comme en temps de guerre, ce qui sonne comme une première ébauche d'une future gouvernance mondiale...

En juillet 1892, les élections générales ne donnent aucune majorité. Le Parti Irlandais peut continuer sa politique de bascule et favorise le retour de Gladstone. Il va l'année suivante proposer un second projet de Home Rule pour l'Irlande qui va être accepté par la Chambre des Communes mais repoussé par la Chambre des Lords. L'Irlande va alors cesser d'être un sujet politique pour les vingt-cinq années suivantes. Gladstone démissionne en mars 1894 à l'âge de 85 ans. Il meurt quatre ans plus tard.

En juin 1895, les élections générales donnent le pouvoir à une coalition de conservateurs et de libéraux unionistes de Joseph Chamberlain. Celui-ci se réserve le ministère des Colonies tandis que Salisbury redevient Premier ministre. C'est alors qu'on assiste à la véritable crise du parti libéral tel que le concevait Gladstone : un Etat minimal, une politique étrangère influencée par les élans humanistes de Gladstone desservant parfois l'intérêt national, chose qui ne sera plus envisageable par la suite. Certaines de ses idées étaient en quelque sorte passées dans le domaine public comme le libre-échangisme ou l'élargissement du corps électoral, aussi ne pouvaient-elles plus servir d'argument électoral. Les vieilles scissions entre torys défenseurs de la prérogative royale et whigs défenseurs du parlementarisme étaient depuis longtemps caduques. De la même façon, les clientèles traditionnelles de propriétaires terriens pour les conservateurs, et d'industriels libre-échangistes pour les libéraux ne pouvaient plus rien dire depuis que les industriels rejoignaient le parti conservateur. C'est ainsi que le parti libéral se tourna vers les syndicats ouvriers, lesquels n'étaient pas du tout tentés par le socialisme, ce qui donnera en février 1906 le Labour Party.

En juillet 1898, Marchand et Kitchener, qui vient de conquérir le Soudan pour l'Egypte, se heurtent à Fachoda sur le Nil blanc. L'Entente cordiale voulue par la Monarchie de Juillet est mise à mal. Dans Londres, le grand projet de route impériale du Cap au Caire fait l'actualité de la presse et des salons. On vend la mission civilisatrice de la race anglo-saxonne à grand renfort de récits exotiques de Kipling. La guerre contre la France est évitée de peu par un accord de renoncement sur le Nil.

En janvier 1901, la reine Victoria s'éteint. Son fils, Edouard VII, âgé de 60 ans, oncle de nombreux souverains d'Europe (dont le Kaiser Guillaume II qu'il méprisait, ou le tsar Nicolas II), lui succède. On le surnommera L'Oncle de l'Europe...

L'impérialisme britannique ne faisait que commencer...

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Après la prestation d'Alex Thompson, il faut écouter celle du Canadien Matthew Ehret sur l'allégeance des pays du Commonwealth à la couronne d'Angleterre. Ce qui permettra de comprendre pourquoi ces pays ont eu droit à un régime spécial pendant l'intense épisode de terrorisme pseudo-sanitaire que nous venons de connaître.


Fort de ces éclairages, nous comprenons mieux comment une puissance mondialiste criminelle a pu imposer sa propagande covidiste mensongère à la plupart des pays du monde, sans rencontrer beaucoup de résistance. Cette puissance ne s'est pas faite en un seul jour. Elle a émergé de l'histoire.

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Evidemment, il eût été extrêmement périlleux d'en rester là. Car installer le projet mondialiste de domination des peuples dans le temps long était la meilleure façon pour lui offrir une légitimation qu'il ne mérite nullement en raison de l'ampleur, de la préméditation et de la récidive des crimes commis. Il fallait donc requalifier le dessein criminel en tant que tel et oser lui donner alors son étiologie clinique. C'est pourquoi Reiner Fuellmich donna la parole à Ariane Bilheran, que le lecteur du blog connaît déjà, psychothérapeute française habitant en Colombie et auteur de nombreux ouvrages notamment sur le harcèlement au travail. Malgré la barrière de la langue, elle offrit son témoignage indispensable le 4e jour du Grand Jury que l'on peut suivre ici, expliquant que l'agression que nous vivons de façon très visible depuis deux ans est le fruit de la psychose paranoïaque de nos agresseurs. Après Ariane Bilheran, de l'action grandiose des démiurges tels que ces êtres perdus se plaisent à se voir, on ne peut plus retenir que l'action criminelle de bas étage de cerveaux atteints par la démence profonde. Une seule solution s'impose alors: Une opération de police de grande ampleur pour procéder à l'arrestation immédiate des criminels contre l'humanité. Reiner Fuellmich et les siens s'y emploient. Relayez-les sur vos pages et auprès de vos amis.


Actualités, dernière minute:

1/ Maître Virginie de Araujo-Recchia, auteur du Rapport Dictature qui devrait être considéré par les OPJ comme un mandat d'amener des criminels d'Etat a été arrêtée hier matin à son domicile. Le terrorisme d'Etat cherche donc l'intimidation avant l'élection, l'électeur ayant pris l'habitude ces dernières années de faire sur soi à la dernière minute dans l'isoloir... Le but est d'obtenir des électeurs terrorisés le syndrome de Stockholm qu'a très bien décrit Ariane Bilheran, c'est-à-dire s'enfermer dans le déni de l'agression tellement celle-ci fait peur et trouver des raisons légitimes à l'agresseur. (Note du 20 octobre 2023: Attention! Voir l'avertissement placé en tête de notre article n°142.)

2/ Le jour 4 vient d'être traduit par Jeanne Traduction. C'est ici.


Et votez en masse! Car Bobo-des-métropoles, plus ou moins complice avec la crise totalitaro-sanitaire, encore parfois masqué jusqu'aux yeux, lui, va le faire... Voter contre Macron est aujourd'hui une urgence de santé publique afin d'échapper à la psychose paranoïaque des ennemis de la population.


Paraphrasons les auteurs. Coluche, puis Sartre...

Remarque du 31 mars: Mes commentaires sur le site de propagande gouvernementale Profession-Gendarme, que je surnomme Profession-Davos, sont depuis hier passés au crible de la modération et depuis ce matin refusés. C'est qu'à une encablure de l'élection présidentielle, toutes les ressources des dingues doivent être mises à contribution pour favoriser la réélection de l'homme de paille. Appelant à voter pour Eric Zemmour, qui me paraît le candidat le plus opposé aux menées des mondialistes sur notre territoire, je devenais encore plus dangereux pour les sbires du pouvoir qu'en expliquant aux gendarmes de France que la maladie dite Covid 19 n'existe pas et n'a jamais existé, réalité que j'ai portée assidûment sur Profession-Davos à partir du 20 juillet 2021 et qui m'avait valu onze jours plus tard la naissance d'un "officier traitant" rien que pour moi, qui ne se lassa pas de marquer chacun de mes commentaires dangereux pour les dingues, avec abondance d'injure, de harcèlement, de diffamation, d'intimidation, le gaillard n'hésitant pas à menacer de liquider toute la famille d'Éric (sic, le profil "Éric étant sans doute fictif) dans un commentaire... Bref, la violence atteinte par le pouvoir sur le site Profession-Davos est parfaitement en accord avec la garde à vue de 60 heures que vient de subir (note de septembre 2024: plus exactement, mise en scène...) Maître Virginie de Araujo-Recchia dans des conditions humiliantes, dont le site France-Soir tenu par l'ancien du cabinet Mac Kinsey fait la publicité puisque cette garde à vue participe de la terreur d'État devenue institutionnelle dans notre pays depuis le 16 mars 2020. Profession-Gendarme continue aujourd'hui sa propagande grossière, notamment en poursuivant sa diffamation ordurière à l'endroit de Brigitte Macron (l'accusant d'être un homme, c'est dire le niveau du site, une petite dizaine d'articles déjà sur ce "sujet"), qui comporte deux buts: 1/ présenter les opposants au régime comme des débiles mentaux haineux et s'en prenant aux femmes, ce qui prépare une prochaine loi de déchéance sociale pour les récalcitrants; 2/ créer un courant de sympathie envers le couple présidentiel ainsi attaqué aussi bassement.
Sur Profession-Davos, tout est fictif. L'immense majorité des commentateurs ne sont pas réels mais fabriqués. Il suffit de fréquenter le site quelques jours pour s'en convaincre. Il y a les profils qu'on cherche à rendre plus durables et ceux créés de manière extemporanée. Le principe général consiste à relayer les âneries les plus caricaturales (reptiliens, 5G pilotant les cerveaux, extra-terrestres parmi nous, aliens dans les vaccins, mafia khazare conduisant le monde depuis toujours, taux vibratoire, inexistence des microbes et du phénomène infectieux, lecture "littérale" de versets de la bible, etc.) tout en se faisant passer pour des opposants au régime, la Révolution française étant sensée être la source de tous nos maux. Toute la petite ménagerie s'attache maintenant à expliquer aux Français combien il serait inutile voire dommageable de voter, que la méchante famille Rothschild (une obsession sur le tabloïd) serait tapie derrière Eric Zemmour pour transformer le pays en dictature, et qu'il faudrait s'énerver très fort dès aujourd'hui. Eh bien non, il faut conserver son sang-froid, aller voter en nombre, et choisir un candidat structuré, attaché à la pérennité de notre pays, à nos mœurs, à notre population. On ne vote pas Zemmour parce qu'on aurait la haine de l'Islam, religion que je trouve personnellement parfaitement honorable, mais parce qu'on aime la France et ses libertés individuelles.

L'un de mes derniers commentaires sur Profession-Davos, passé hier après-midi:
"C'est un retour à la vie normale que je propose aux Français. (...) Avec moi, il n'y aura plus de confinement ni de restriction des libertés individuelles comme le pass sanitaire ou vaccinal. Je propose une stratégie qui (...) ne cède pas à la panique et aux folies des docteurs Knock en tous genres qui voudraient nous imposer de vivre éternellement masqués, distants et confinés." Eric Zemmour, L'Opinion, 20 décembre 2021.
Même sans connaissances médicales suffisantes pour comprendre que la maladie dite Covid 19 n'existe pas et que les produits présentés comme des vaccins n'ont aucune intention vaccinale, Eric Zemmour est suffisamment structuré pour nous éviter le précipice vers lequel Davos nous dirige. C'est ce qu'on demande à un chef d'Etat.

Le premier commentaire refusé ce matin:
Nier l'existence de la maladie imaginaire comme l'existence du péril imaginaire climatique est beaucoup trop clivant pour espérer la moindre réussite à l'élection présidentielle. C'est pourquoi Eric Zemmour a compris qu'il fallait s'écarter de ces sujets, tout en indiquant bien qu'il ne continuerait pas ces deux impostures: arrêt de tout pass sanitaire, réintégration des soignants non empoisonnés, arrêt des installations d'éoliennes, développement du nucléaire. Zemmour est l'antithèse des mondialistes et n'avance pas masqué. Il est authentiquement attaché à la survie de la France, à sa population, à sa culture, parlant même d'un droit d'aînesse  de la religion catholique sur le plan culturel. Il est la bête noire de l'association criminelle internationale qui détruit notre pays depuis le 16 mars 2020 et que je combats depuis le premier article de mon blog consacré à l'installation du régime totalitaire de Davos dès le 23 mars 2020.

(Il est écrit dans le programme officiel d'Eric Zemmour, à la page 53: "Abolir définitivement le pass vaccinal." Et dans son discours de Metz, il a promis de réintégrer les professionnels de santé interdits d'exercer parce qu'ils ont, à raison, refusé de se faire injecter le bidule ARN.)

31 mars PM: Ronald Guillaumont vient de publier les commentaires qu'il avait bloqués ce matin. C'est que le personnage n'est pas à son coup d'essai pour jouer un rôle. Il faut savoir que le 12 novembre dernier, ne sachant plus comment faire pour me contrer et l'injure publique ayant ses limites en tactique de manipulation, des esprits fâcheux imaginèrent d'usurper mes nom et prénom en postant des commentaires à ma place sous deux articles. Comme je protestai, il me fut proposé par Ronald Guillaumont de lui donner mon numéro de téléphone afin qu'il me rappelle pour... vérifier mon identité! Or, je postais des commentaires en renseignant chaque fois la même adresse mail depuis novembre 2020, l'identité à trouver étant donc celle de l'usurpateur et non la mienne, chose qui ne fut évidemment jamais faite. C'est que la ménagerie avait fait courir le bruit depuis quelques jours que je serais le commissaire divisionnaire Christophe Desmaris et donc, logique habituelle de la ménagerie en question, que j'appartiendrais à la franc-maçonnerie. Dans une aimable conversation téléphonique que j'avais acceptée pour me faire une idée définitive du rôle de Ronald Guillaumont dans les diverses manipulations présentes sur son blog, j'affirmai que je n'étais évidemment pas le commissaire divisionnaire, donnai ma profession, tout en expliquant que je n'intervenais sur le blog qu'en ma qualité de citoyen et non en tant que membre de ma profession afin de n'engager aucunement la réputation de mes confrères et laisser dormir paisiblement mon ordre professionnel en respectant ainsi mon code de déontologie. Ronald Guillaumont m'assura qu'il garderait pour lui la totalité de mes confidences (téléphone, adresse, profession), me remercia chaleureusement, et, cinq minutes après la fin de cette conversation téléphonique, "l'officier traitant" habituel qui m'agressait depuis sa naissance du 31 juillet 2021, postait plusieurs commentaires avec de biens lourdingues références à ma profession. Voilà ce que vaut réellement le personnage qui tient Profession-Gendarme...
Pour trouver le principal article où se trouve la pantalonnade, suivez ce lien.

Mais bien sûr, ce ne fut pas tout. Comme j'étais insuffisamment intimidé, Ronald Guillaumont publia le 17 janvier 2022 un article commençant par un index pointé... vers moi, dont le titre était: Communiqué de profession-Gendarme à l'un de nos lecteurs assidu ainsi qu'à l'ensemble de ceux-ci... et commençant par les mots: "Monsieur Christophe Desmaris..."
Et tout ceci n'est qu'une infime partie des petites péripéties quotidiennes quand on s'aventure sur les terres du "Canton des Grisons"... Mais par pitié, ne considérez plus le site Profession-Gendarme comme un site combattant l'imposture totalitaro-sanitaire. Quel contre-sens ce serait! Pensiez-vous vraiment, alors que depuis deux années la propagande covidiste fait rage dans toutes les sphères de la société de tous les pays occidentaux, qu'une profession aussi sensible que les gardiens de la paix aurait pu échapper à une propagande spécifique faite tout exprès pour elle?...

(On pourra se faire une idée supplémentaire du tabloïd en allant sur l'article du 18 janvier 2022 titrant sur une "conspiration juive sadique" où vous pourrez lire mes deux commentaires d'explication du pourquoi et du comment, postés in situ, directement dans l'antre....)