Déception: Le plan C n'était qu'une correspondance pour un vol vers Davos (21 janvier 2023: Chouard totalement démasqué) 171
Avertissement: Le montagnard sera sans doute surpris en découvrant ce blog de lire autant d'articles qui concernent davantage la politique que la haute-montagne. C'est que depuis le 16 mars 2020, date du nouveau coup d'Etat mondialiste dans notre pays, nos libertés fondamentales sont un tantinet menacées. Dans ses ouvrages Oisans Nouveau Oisans Sauvage, Jean-Michel Cambon montrait une photographie de Pierre Chapoutot encore jeune, doigt levé devant une assistance, et écrivait en légende: "Le Chap's, dans un refuge (ou au lycée...): et une péroraison de plus..." Chapoutot a montré tout au long de sa carrière que le combat politique fait partie intégrante de la pratique authentique de l'alpinisme, et que celle-ci ne fait jamais bon ménage avec le piétinement des libertés individuelles. Si l'alpinisme est parvenu jusqu'à nous, dans la désapprobation générale (on se souvient qu'après l'accident du Cervin de 1865, la reine Victoria envisagea d'interdire la pratique à ses sujets), c'est que ceux qui nous ont précédés ont su régulièrement brandir le piolet contre les ennemis de la liberté... pour une péroraison de plus.
Nous ne convoquerons pas ici les grands mots de trahison ou de fascisme vert, seulement notre propre naïveté d'avoir envisagé qu'un militant politique aussi accompli qu'Etienne Chouard avait pu se tromper si grossièrement dans ses alliances (voir article précédent). La démonstration en ces temps étranges de sortie collective du bois (Carlo Brusa vient d'émettre un nouveau p'tit "raoult" dans sa dernière vidéo...) va se suffire de quelques tweets. Faut-il que les agents manipulateurs aient confiance en la grande confusion qu'ils ont semée par plus de deux années de massive propagande duale pour qu'ils osent ainsi se dévoiler en pleine lumière tout en pensant conserver notre adhésion pleine et entière!
Commençons par le tweet qui fâche: "Merci François." Il s'agit de François Ruffin, député de La France Insoumise, en apparence simple signe de l'appartenance de l'enseignant (professeur d'économie-gestion et de droit fiscal) au monde de la gauche, ce qui n'est ni une surprise ni un crime.
Cette publicité pour François Ruffin passerait pour inoffensive à tout citoyen qui ne serait pas suffisamment attentif aux diverses tentatives d'anéantir nos libertés fondamentales pour mille prétextes. Le grimpeur davantage appliqué à serrer les prises qu'à "écraser l'infâme" aura sans doute laissé passer la proposition de loi n°3164 rédigée par François Ruffin, cosignée par Delphine Batho, et déposée à l'Assemblée Nationale le 30 juin dernier. En voici quelques extraits:
Cette proposition de loi, collant à la perfection au programme de Davos, vise à instaurer pour les personnes physiques des quotas annuels de transports aériens, sous l'alibi de l'escroquerie scientifique qui prétend en l'existence d'un péril climatique imminent. Il s'agit clairement d'attaquer notre liberté fondamentale d'aller et venir, droit inaliénable garanti par la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, laquelle est visée par le préambule de notre Constitution, et est considérée comme droit positif (et non seulement droit naturel) depuis le 27 décembre 1973.
On comprend mieux alors pourquoi Etienne Chouard multipliait les tweets affirmant que nous n'avions pas de Constitution. Car si nous n'avons pas de Constitution, rien n'est violé... Le plan C ne sert en définitive qu'à préparer l'amnistie des hommes de Davos, tout comme les menées de Christian Perronne au Parlement européen n'avaient servi qu'à préparer l'impunité future de ceux qui ont fabriqué le narratif de la maladie imaginaire en la faisant exister par le narratif alternatif des traitements précoces, filet de sécurité des dingues.
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| Schwab, partenaire/épouvantail habituel des faux résistants qui nous conduisent pourtant au même endroit que le théoricien du Great Reset. |
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| On pouvait croire qu'Etienne Chouard dénonçait ici l'imposture climatique en pointant une ancienne militante écologiste. Ou comment avancer masqué pour finalement nous conduire à la même destination... |
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| Le bougre insiste, encore et encore. Nous n'aurions pas de Constitution... |
Eh bien si Monsieur Chouard, nous avons une Constitution. Et elle nous protège contre ceux qui envisagent de violer nos libertés fondamentales en véhiculant l'une ou l'autre des quatre impostures mondialistes actuelles: l'imaginaire péril islamiste, l'imaginaire péril climatique, l'imaginaire péril sanitaire, et maintenant l'imaginaire péril russe. Akina Le Front Médiatique n'avait donc pas trahi le maître en proposant son projet de Constitution davosien (voir ajout du 28 novembre de l'article n°170) et en faisant de la publicité pour le climato-intégriste Cyril Dion qui appelait à voter Macron. La collusion entre les divers et nombreux faux résistants, tous démasqués les uns après les autres, est aujourd'hui patente.
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| Comme c'est chou! Akina nous refait en début d'année 2023 un p'tit "raoult", qui plus est par le truchement de France Mac Kinsey Soir, pour ceux qui n'étaient encore pas tout à fait sûrs que nous avions affaire à un crypto-agent mondialiste déguisé en opposant du régime. |
Merci au passage à la Banque de France d'avoir mis un terme à la dangereuse aventure du "franc libre" (Alexandre Juving-Brunet, par son entreprise, vendait au début de l'opération Covid une machine pour désinfecter l'atmosphère des bureaux contre le dangereux virus SARS-CoV-2... Il fallait oser pour ensuite se présenter comme un grand résistant.) qui risquait, si elle prospérait, d'accélérer sans contrôle possible l'hyperinflation déjà lancée par les dingues, mécanisme très connu de la multiplication des monnaies locales contre lequel avait lutté en son temps avec succès le Secrétaire au Trésor Alexander Hamilton en créant notamment en 1791 la première banque nationale américaine (First Bank of the United States). Surprise de notre époque perturbée, la véritable résistance de la nation France aux menées de Davos ne se trouve pas toujours où on l'attend.
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| La confusion habituelle entre capitalisme de connivence et néolibéralisme, qui permet de faire croire que la solution consisterait à durcir l'autoritarisme totalitaire. Un agent de l'étranger en mission peut en cacher un autre... |
En faisant cette promotion par proxy pour l'introduction du pass carbone, visant l'avion pour pouvoir profiter du levier psychologique puissant de la jalousie socio-économique, Etienne Chouard ne peut plus être considéré que comme un mondialiste comme les autres, s'employant à piétiner nos libertés tout en se drapant des atours trompeurs d'un attachement à la démocratie. Cette démocratie à la Chouard, dite "participative", à la Constitution malléable à souhait (le "processus constituant populaire permanent" de l'auteur) par quelques agents "formateurs" judicieusement placés au sein d'ateliers constituants peuplés de naïfs utiles, comme je l'ai été encore une fois dans ces pages en relayant ces idées dangereuses, me semble aujourd'hui surtout une formidable entreprise de manipulation pour nous conduire, sans résistance, à la même société de contrôle que celle qu'elle prétend dénoncer. Fuyons la fausse résistance !
(La loyauté élémentaire d'un blog consiste à rectifier ses propres erreurs auprès du lecteur au fur et à mesure de leur prise de conscience par l'auteur. Ceci peut être considéré comme la ligne éditoriale de ce blog.)
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Ajout du 24 décembre: Après avoir corrompu la thermochimie (voir dans la bande latérale du blog les deux liens vers les articles indispensables de Georges Geuskens, à lire avec les commentaires associés car le professeur de chimie répond longuement aux questions posées par son auditoire) puis la médecine, notamment les connaissances fondamentales de l'évolution biologique incompatibles avec l'imposture des variants (voir fin de l'article n°159), les dingues s'emploient activement à corrompre le droit, obstacle de taille à leurs projets totalitaires. Il n'a échappé à personne que nos libertés fondamentales ne sont pas absolues en raison de l'embêtement que représente l'existence "des autres", cet enfer du philosophe qui a inspiré la page 127 de notre manuel. Les rédacteurs de la Déclaration du 26 août 1789 s'étaient, comme vous et moi, rendu compte de ce sérieux emmerdement aussi rédigèrent-ils l'article IV de la façon suivante:
"La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui: ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi."
François Sureau (voir articles n°115 et 162 au paragraphe "Parer au plus pressé"), notre brillant théoricien contemporain des libertés, s'il en est (on aimerait qu'il passe également praticien...), a abondamment disserté sur ce que voulait signifier cette "liberté d'autrui" qui viendrait tout à coup handicaper la nôtre avec la plus parfaite incongruité. Et au contraire des affirmations hypocrites des faux dévots, il ne s'agit nullement de bienveillance, de charité chrétienne, d'humanisme, que sais-je encore. Le projet républicain, nous dit notre frais académicien, a été de construire une société autour de nos libertés, considérant que celles-ci étaient ce qui nous tenait le plus à cœur. Si le programme consiste en ce que chacun se presse au "tourniquet des droits" pour revendiquer les siens propres, les libertés de chacun d'entre nous se heurtent à celles de tous les autres, de sorte qu'elles n'ont aucune chance de sortir triomphantes d'un tel combat inégal. Cette façon de faire est en conséquence dans l'impossibilité de construire une société organisée autour de nos libertés, puisque les libertés de chacun d'entre nous vont une à une disparaître au prétexte de l'existence de celles des autres. On en conclurait idiotement que le projet républicain est une utopie qui ne peut conduire qu'à la guerre civile où chacun combat pour sa propre liberté contre les autres, et que le seul régime politique viable est autoritaire et totalitaire. C'est que ce que cherche aujourd'hui à nous faire croire l'organisation criminelle internationale qui a ouvertement déclaré la guerre à notre nation le 16 mars 2020.
Cette façon de faire, effectivement vouée à l'échec, montre l'importance de l'apport de François Sureau. Car il en est une autre, inverse, qui conduit à la réussite du projet républicain. Il s'agit de considérer que les libertés que nous avons à défendre sont celles d'autrui et non les nôtres. Mais attention ici à ne pas se méprendre. Il ne s'agit nullement de prétendre que les droits du groupe seraient supérieurs à ceux de l'individu, tromperie qui aboutit par le chemin le plus direct au totalitarisme. Les libertés d'autrui à défendre sont bien ses libertés individuelles, celles de chaque individu pris un par un. Ainsi, les libertés de chacun d'entre nous, individu par individu, sont défendues par tous les autres. Le rapport des forces est inversé et les libertés de chacun d'entre nous en sortent vainqueurs. Ici le projet républicain tient réellement la route et nous conservons tous nos libertés.
C'est la raison pour laquelle les dingues, qui ont parfaitement compris le problème que représentait la viabilité réelle et durable de notre projet républicain, ont beaucoup réfléchi à la manière de le corrompre. Et ils ont trouvé, car les pervers sont toujours très industrieux quand il s'agit de nuire. Leur grande trouvaille est la notion de droit des générations futures, qu'ils tentent de répandre abondamment dans toutes les sphères de la société. Il suffit de taper ces mots sur Google pour s'en convaincre. Mais on peut aussi écouter le discours de Laurent Fabius prononcé le 28 septembre dernier devant les étudiants de Sciences Po pendant lequel il s'est longuement appesanti sur ce nouveau "napalm juridique" pour reprendre l'expression qu'employait Paul Cassia à propos des lois covidistes scélérates. On se souviendra alors que notre président du Conseil constitutionnel, qui a brillamment pulvérisé la loi Avia (voir article n°167) le 18 juin 2020 (date non innocente) et ne peut dissimuler un profond attachement à l'Etat de droit qui transparaît même à travers ce discours diffusant l'ignominieuse notion, a deux bras pliés dans le dos, sous la forme de deux fils encore vivants, dont l'un est plongé jusqu'au cou dans le narratif covidiste puisqu'il est à la tête de la branche française du cabinet Mac Kinsey, David, son paisible fils aîné, ayant été défenestré du 8e étage de son immeuble ce 1er septembre, soit 27 jours avant la prestation de Sciences Po. Il n'échappe à personne que pour faire prospérer leur nouvelle trouvaille totalitaire qui permettra, au nom des générations futures, de détruire la totalité des libertés fondamentales des vivants, le Président du Conseil Constitutionnel est un passage obligé. Il reste à espérer que l'enquête sur la défenestration de son fils se soit pas dans les mains des dingues, rien n'est moins sûr...
La notion de "droit des générations futures" viole de façon évidente l'article IV de la Déclaration de 1789 où il est stipulé que la loi ne peut limiter les libertés que pour un seul motif: garantir ces mêmes libertés aux autres membres de la société, sous entendu présents et bel et bien vivants. On entre alors dans le domaine du droit-fiction comme il existe une science-fiction, et cette tentative n'est pas la première. En effet, voici quelques années, Nicolas Sarkozy avait déjà essayé de corrompre de la même façon notre droit pénal en prétendant qu'il fallait introduire, pour conjurer le risque de récidive, la notion de dangerosité du détenu alors même que celui-ci avait purgé sa peine, afin de pouvoir prolonger sa détention. Ce fut alors le sénateur socialiste André Vallini qui eut la meilleure réaction en disant que jusqu'à maintenant on était condamné pour les crimes qu'on avait commis, mais qu'avec ce projet sarkozyste on allait pouvoir être condamné pour des crimes qu'on pourrait hypothétiquement commettre dans l'avenir. Le grand n'importe quoi totalitaire sous l'égide des "experts" en psychiatrie comme il y a aujourd'hui des "experts" en climat.... C'était quasiment le retour de la lettre de cachet. Avec un raisonnement similaire et cette notion de "droit des générations futures", nos libertés ne seraient plus limitées seulement par celles d'autrui comme le prévoit la Déclaration de 1789, mais par d'hypothétiques dommages causés dans le futur sur des générations qui n'existent pas encore. Il ne s'agit plus ici de droit, il faut être très clair, mais de saloperie intégrale à visée totalitaire!
Exercice d'application: En pratique, défendre les libertés d'autrui, c'est quoi? Cela consiste à défendre la liberté qu'ont les autres de se comporter différemment de moi. Ainsi ce n'est pas aux grimpeurs de défendre leur propre liberté d'escalader sur des sites naturels, attitude vouée à l'échec devant le nombre de non-grimpeurs. Il revient aux non-grimpeurs de le faire. De la même façon, ce n'est pas aux chasseurs de défendre leur liberté de chasser mais, dans un souci d'efficacité, aux non-chasseurs, car ils sont infiniment plus nombreux. On comprend qu'avec cette méthode, on gagne à tous les coups et que nos libertés s'agrandissent chaque jour. On en conclut facilement que le grimpeur doit concrètement défendre la liberté de chasser alors qu'il ne pratique pas cette activité, et le chasseur doit concrètement défendre la liberté de pratiquer l'escalade alors qu'il ne pratique pas cette activité. Capiche?
(A une encablure de la veillée de Noël, on observe que ce pragmatisme républicain est très similaire à la doctrine chrétienne. Car derrière le message moral du Christ d'apparence bêtasse - Aimez-vous les uns les autres - se cache une efficacité redoutable pour construire une société paisible où il fait bon vivre et c'est sans doute pourquoi la civilisation chrétienne a tant duré. Défendre les libertés d'autrui de façon inconditionnelle, c'est-à-dire indépendamment des mérites de ce fameux autrui, donc même quand il est un sacré connard, est bien un message qui aurait plu à nos aumôniers. On ne défend pas les libertés d'autrui parce qu'autrui le mérite, ce qui convenons-en aurait très peu d'occasions de s'appliquer, mais parce qu'on le mérite soi, dans notre aspiration à vivre dans une société organisée autour de nos libertés individuelles. La démonstration est faite que ceux qui n'ont jamais pris l'avion et n'ont aucune intention de le prendre ont grandement intérêt à dénoncer, de toutes leurs forces, la proposition de loi totalitaire n°3164.)
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Ajout du 27 décembre: Feu d'artifices de fin d'année...
1/ Dans la série "Je-suis-une-victime-la-preuve-que-je-suis-un-grand-résistant", on connaissait Vivre Sainement et son accident/attentat de moto sans souvenir, France Mac Kinsey Soir et "le gouvernement veut la peau de notre journal", Emmanuelle Darle et "les méchants ont saboté ma bagnole", voici l'épisode suivant, dont le héros cette fois est le mathématicien au taux vibratoire de quatre petits "raoults" par seconde:
(La vision géopolitique vendue aux gogos par Valérie Bugault consiste à décrire une Russie, puissance militaire, alliée à la Chine, puissance économique, toutes deux en guerre contre les globalistes financiers apatrides qui veulent accaparer le monde, et une imposture covidiste qui aurait servi d'accélérateur des projets mondialistes. Cette présentation des choses (hormis le dernier point) ne résiste évidemment pas à la plus élémentaire réflexion puisque la Chine et la Russie ont participé sans retenue à l'imposture covidiste. Valérie Bugault est donc dans l'obligation de soutenir l'existence de la pandémie, d'où sa raoultitude chronique, pour laisser entendre qu'il s'agirait d'une attaque biologique des mondialistes contre la Chine qui aurait un mal fou à se débarrasser du dangereux virus occidental. Et la solution prévue par Valérie Bugault pour nous sortir de ce guêpier est... la disparition de nos libertés fondamentales. Franchement, c'est gros, très gros. Fuyons la fausse résistance!)
3/ Et pour le bouquet final, l'Eisenhower Fellow de 2013, qui a vanté récemment les mérites de Colin Powell qui lui avait remis le "diplôme" (le même qui, en 2003, avait agité devant le Conseil de sécurité des Nations unies la fiole sensée contenir de l'antrax, présenté comme arme biologique de Saddam Hussein...), et qui fait vivre continûment la maladie imaginaire depuis des mois sur sa page Twitter se paye encore notre tête. Bien entendu, la courbe des "contracting Covid-19" est toujours tracée selon les tests RT-PCR aux amorces fantaisistes ("amorce", un mot que la généticienne n'a pas prononcé une seule fois depuis le début de l'imposture, cherchez l'erreur...) et aux températures de cycles inadéquates (permettant l'hybridation des amorces un peu partout, au petit bonheur la chance, sur la chaîne d'ADN), puisque le tableau clinique de la maladie imaginaire regroupe aujourd'hui les symptômes les plus divers (on a ajouté cet été les suées nocturnes, et cet hiver les engelures d'après le spécialiste de la "Covid longue" Stéphane Gayet qu'on ose nous présenter comme opposant au régime), allant jusque l'absence de symptôme (c'est si commode), ce tout et n'importe quoi (les pelades, les troubles cognitifs, etc.) ne permettant nullement d'établir autrement le diagnostic positif, le diagnostic différentiel, puis le diagnostic étiologique de la maladie imaginaire. Ou comment faire semblant de résister à l'imposture tout en renforçant le narratif principal, horizon indépassable du faux résistant:
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| Ne plus confondre crypto-agent gouvernemental et opposant au gouvernement, c'est gênant... |
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| D'après les cagots qui peuplent les organes de fausse résistance, nous serions des êtres de lumière, des "éveillés", plus intelligents que les autres d'avoir perçu les mensonges covidistes (alors que Perronne et de nombreux autres nous livraient au forceps quotidiennement le prêt-à-penser alternatif des "traitements précoces" soignant la maladie imaginaire), dotés aussi d'une grande spiritualité et d'un amour du prochain incomparable... Le flatteur vit aux dépens de celui qui l'écoute, a pourtant averti le poète. |
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Ajout du 21 mars 2023: Chouard démasqué par ses propres troupes !
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| Eh oui Sarah, cherchons l'erreur... |
