Le cahier de texte du collégien (+ veille des naissances vivantes, mortalité, fausse résistance) Ajout le 4 octobre! 192

 

En 2023, le collégien n'a plus qu'une seule légation mais elle est de taille: Faire mentir le titre de l'essai de Jean-Paul Brighelli paru en 2005, La Fabrique du Crétin - La mort programmée de l'école. Compte tenu du fait que les fossoyeurs de l'école ne se sont pas contentés d'empêcher la transmission du savoir en s'efforçant de corrompre les écoliers mais qu'ils ont auparavant réglé leur compte aux enseignants en très mauvaises formes, le petit futur citoyen ne s'en sort pas trop mal. Un cerveau jeune, ça résiste, même aux plus intenses propagandes. Le collégien de 2023 pour conserver ses libertés individuelles va devoir y être agrippé de toutes ses forces malgré la voie en franc dévers. Quelques citations, comparables à des "baquets" faciles à tenir, devraient l'y aider. Il devra aussi comprendre que le péril climatique est une duperie et non une science, destinée précisément à lui voler ses libertés, et que le piège grossier du "droit des générations futures" n'a pour finalité que d'anéantir définitivement les libertés présentes et non de préserver les siennes pour l'avenir. Pour cela, l'écolier conservera un sens critique affûté vis à vis de ses propres enseignants qui subissent avec la même intensité la même propagande à laquelle ils n'opposent qu'un cerveau très usé, tout en cherchant à retirer d'eux le maximum des réelles connaissances qu'ils sont encore en état de transmettre à leurs élèves.

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Covid War suite

Dans le cadre de notre veille des naissances vivantes et de la mortalité toutes causes confondues, voici le tableau des naissances vivantes de notre article n°172 mis à jour avec les derniers chiffres de l'INSEE. On remarque que contrairement aux gémissements de nombreux agents manipulateurs de Davos déguisés en "résistants", la baisse de la natalité en France n'a rien de dramatique et s'explique très facilement et entièrement par le contexte politique anxiogène. Les produits injectés présentés comme des vaccins contre la maladie imaginaire ne semblent donc pas à ce jour stériliser les femmes. On en conclut que les "hommes de Davos" adorent apparaître comme plus féroces qu'ils ne sont (les récits délirants sur de prétendus réseaux pédo-satanistes avec consommation de sang d'enfants torturés chargé d'adrénaline...) afin de sidérer toute velléité d'opposition à leur tentative totalitaire. Mais ils cherchent aujourd'hui surtout à gérer leur risque pénal grandissant en faisant répéter encore et encore par leurs faux-opposants leur fable des "traitements précoces" contre la maladie imaginaire, ritournelle qu'ils ont précisément conçue comme un filet de sécurité pénal.

Par surcroît, le Bryan Ardis du Grand Jury, médecin texan qui avait dénoncé les assassinats au midazolam (équivalent du rivotril utilisé aux USA) nous sort aujourd'hui que la prétendue épidémie de Covid-19 serait en fait l'effet de la propagation volontaire dans l'eau de boisson de venin de serpent. On en conclut facilement que le témoignage de ce personnage est à mettre à la poubelle, ce qui désarme les accusations selon lesquelles les médecins auraient assassiné en injectant massivement des dépresseurs respiratoires à des vieux en dépression respiratoire pour les achever. Les médecins doivent aujourd'hui relever la tête car, si l'on en croit le statisticien Pierre Chaillot (qui devient par ailleurs également éminemment sujet à caution en relayant une nouvelle créature d'un des vigiles de l'IHU Jean-Dominique Michel et en supprimant tous les commentaires critiques sur sa chaîne Youtube - à suivre... et voir en fin d'article), l'année 2020 ayant été la 6e (puis la 7e après passage de 2021) année la moins mortelle de l'histoire épidémiologique de notre pays (après standardisation de la mortalité par classes d'âge), ils n'ont globalement pas démérité dans les soins apportés à leurs malades, malgré l'avalanche de faux diagnostics de Covid-19, maladie qui n'existe pas (voir notre article n°175), trompés qu'ils ont été par des tests RT-PCR aux amorces fantaisistes et aux températures de cycles inadéquates, et bien sûr par une propagande mensongère d'une intensité sans précédent. On remarque que ces accusations de crimes contre les médecins par la voix des faux opposants les empêchaient de rejoindre les rangs de la contestation et les condamnaient, faute de porte de sortie honorable, à continuer d'adhérer au récit officiel. Ce piège manipulateur évoque bien entendu celui utilisé (voir article  précédent) à l'encontre de nos compatriotes juifs en fabriquant un antisémitisme permanent de la part d'agents de Davos déguisés en résistants, poussant les cibles de ce stratagème à chercher une protection en adhérant au pouvoir malgré sa tentative totalitaire. Une seule et même méthode pour deux cibles différentes, qui parfois se confondent. Ami médecin, ami juif, sors de là!

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Veille de la mortalité toutes causes confondues

Puisque nos fameux lanceurs d'alerte nous ont expliqué tous les jours que la France se dépeuplait en grand en raison des injections des produits présentés comme des vaccins contre la maladie imaginaire, voyons ce qu'il en est à ce jour. Le tableau suivant est la suite de celui de l'article n°172:

Nous voyons qu'il n'en est rien puisque nous avons même moins de décès pour ces sept premiers mois que l'année dernière, et il faut se rendre aujourd'hui à l'évidence suivante: Les "récalcitrants" ont été autant manipulés par les faux résistants que les Français conformistes l'ont été par les instances officielles. Un partout la balle au centre... Ami médecin, relève la tête; tu t'es fait berner en croyant à l'émergence d'une maladie nouvelle, mais nous aussi dans un autre registre. Les dingues ont inventé la maladie imaginaire et ont inventé, dans le même temps, le récit alternatif de dépopulation.

Pourquoi a-t-on fabriqué une fausse résistance aussi luxuriante?
Voir L'ECHEC DU COVIDISME

La faillite de Pierre Chaillot:

Depuis sa vidéo du 9 juillet dernier entièrement dédiée à la défense de sa sainteté phocéenne, Pierre Chaillot n'offre plus aucun intérêt. Ce n'est pas la première fois que le statisticien est pris en flagrante contradiction. Notre article n°172 L'échec du covidisme avait présenté son livre et en avait montré l'incohérence majeure: une préface rédigée par l'un des plus zélés vigiles de l'antre du covidisme disant exactement le contraire du contenu du livre qui démontrait statistiquement l'absence de maladie nouvelle; tout comme le monstrueux contre-sens de la page 126 qu'on attribuait au très mauvais entourage de l'auteur, habitué on le sait du fameux pseudo-Conseil pseudo-Scientifique pseudo-Indépendant (voir notre article n°170) de la boutique du petit prêtre du Monde-d'après. On n'est plus étonné alors de la page 199 nous vantant la vieille science obsolète de Béchamp, l'une des antiennes de la fausse résistance étant de prêter aux "récalcitrants" des croyances médicales venues de divers charlatans afin de faire apparaître la fraude du covid, par contraste, pour la vraie science.

Alors, faut-il tout rejeter de l'apport de Pierre Chaillot? Bien sûr que non. Ce serait faire le jeu des manipulateurs, puisqu'une technique largement utilisée consiste à nous révéler quelques vérités pour ensuite délirer vers une absurdité - toute l'habileté d'une Astrid Stuckelberger qui après avoir dénoncé la fraude vous emmène sournoisement vers les hydres-aliens contenus dans les "vaccins", ou celle d'un Jean-Jacques Crèvecœur qui après un discours rationnel démontrant la fausseté de la propagande vous explique avec le même sérieux que les "vaccins" séparent l'âme du corps ... - de telle façon que le citoyen raisonnable rejette l'ensemble et reste soigneusement soumis au narratif officiel, et que le "récalcitrant" soit définitivement discrédité comme ayant des croyances d'un autre âge.

On doit donc conserver la démonstration statistique montrant qu'aucune maladie nouvelle mortelle n'est apparue dans le monde à la fin de l'année 2019 en relation avec la chaîne de nucléotides baptisée SARS-CoV-2, mais se méfier de ce qui n'est plus qu'un nouveau vigile défendant avec application le mythe de la pièce maîtresse du dispositif, comme le montrent mes deux commentaires suivants supprimés sans préavis et illico presto par Pierre Chaillot sur sa chaîne Youtube:

Ajout du 4 octobre:

Nos "lanceurs d'alerte" s'avérant un tantinet défaillants, transformés qu'ils sont en publicitaires de la pièce maîtresse du dispositif covidiste, il devient nécessaire de vérifier par nous-mêmes si nous n'avons pas été dupés sur la totalité du récit. On commencera par remonter les années afin de se faire une idée de la mortalité toutes causes confondues en France métropolitaine, c'est-à-dire celle que nous avons sous les yeux tous les jours. L'objectif est de vérifier si oui ou non l'année 2020 a représenté une grave anomalie dans le nombre de décès comme nous le serinent les médias mainstream, ou s'il est plausible qu'elle n'ait été que la 6e année (7e après passage de 2021) la moins mortelle de l'histoire épidémiologique de notre pays comme nous l'a dit Pierre Chaillot. Voici d'abord un tableau global remontant jusqu'à l'année 2006:

Ce tableau apparaît dans une première approximation assez inquiétant. Nous observons bien un accroissement de la mortalité en 2020, avec un taux jamais atteint pour notre pays de 10,03 décès pour 1000 habitants. Si l'on applique le taux de 2006 de 8,41 à la population de 2020, on obtient 550434 décès au lieu de 644201, soit un "excédent" de 93767 décès, ce qui corroborerait l'idée qu'il y a bien eu une maladie mortelle nouvelle appelée Covid 19.

Cependant, il convient de vérifier si cet accroissement de mortalité est bien dû à l'apparition d'une maladie nouvelle, ou s'il ne s'agit que d'un effet d'optique dû à la pyramide des âges différente en 2020 de celle de 2006. Il existe un moyen très simple, accessible à tous les citoyens dépourvus de connaissances mathématiques, pour vérifier ceci, c'est d'obtenir de l'INSEE les taux de mortalité par classes d'âges, et de voir quelles sont les tranches d'âges qui sont en cause dans cet accroissement de mortalité. Voici donc le tableau comparatif entre 2006 et les années 2020, 2021, de ces taux de mortalité:

Et à notre grande surprise, on constate que, malgré le taux de mortalité très supérieur en 2020 par rapport à 2006 pour la population entière, pour aucune classe d'âge il n'existe d'accroissement du taux de mortalité, très vieux compris. On observe même une très nette diminution des taux de mortalité pour presque toutes les classes d'âges, ce qui montre qu'on continue à mourir moins en France en 2020 qu'en 2006, sans doute à cause d'une meilleure hygiène de vie (pratique d'un sport plus répandue, diminution du tabagisme et de l'alcoolisme, soins médicaux encore performants). On en déduit facilement, sans besoin d'être un statisticien que l'accroissement de mortalité de 2020 par rapport à 2006 tient entièrement dans le fait que la population a vieilli. Nous avons donc la confirmation que la maladie dite Covid 19 n'a pas existé et qu'il ne s'agit que d'une escroquerie à visée totalitaire.

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Pour ceux qui veulent aller plus loin, voici le tableau avec toutes les années depuis 2006. On remarquera un léger accroissement des taux entre 2019 et 2020 pour les plus de 40 ans, facilement explicable par la fermeture de services hospitaliers entiers avec reports des rendez-vous, ce qui constitue un refus de soins organisé par les pouvoirs publics pas du tout imputable aux médecins de base qui n'y étaient pour rien: