Ces produits nommés "vaccins" (+ principes de l'exercice médical - Remanié le 22 avril 2022) 139

Avertissement: Cet article est entièrement remanié ce 22 avril 2022 car, daté initialement du 27 février 2021, il était devenu obsolète et par surcroît partait d'une vidéo d'Alexandra Henrion-Caude et Hélène Banoun, lesquelles passent aujourd'hui leur temps à faire vivre la maladie imaginaire et, pour la seconde, à faire l'apologie de la pièce maîtresse du dispositif covidiste en France, Didier Raoult. Rappelons que depuis le 20 juillet 2021, on sait grâce au Docteur David E. Martin, expert international en brevets médicaux, que la maladie dite Covid 19 n'existe pas, révélation extraordinaire, confirmée depuis par d'autres auteurs et d'autres moyens, qui a bouleversé totalement notre vision des choses et a permis de dévoiler un grand nombre d'agents manipulateurs devenus visibles en refusant d'en tenir compte.

D'autre part, nous avons pu mesurer l'intensité de la désinformation par les récits délirants de certains faux lanceurs d'alerte, le point culminant de ces récits ayant été atteint par la prétendue présence d'hydres-aliens à l'intérieur des "vaccins" (Carrie Madej, Astrid Stuckelberger, Karen Kingston), Jean-Jacques Crèvecœur ayant même précisé "pouvant développer des tentacules de plusieurs mètres de long", puis par la prétendue présence de signaux Bluetooth (information relayée notamment par Carlo Brusa sur constat d'huissier de Nouvelle-Calédonie...) émis par les personnes "vaccinées", en passant par la prétendue aimantation des corps, l'oxyde de graphène puis l'hydroxyde de graphène en lames de rasoir ou s'organisant en réseaux informatiques, les "nanobots", j'en passe et des meilleures.

Que reste-t-il dans ces conditions pour prévenir la population contre ces injections de produits présentés comme des vaccins? Sont-ils réellement dangereux? Si oui, quels sont les risques?

1/ La première mise en garde est générale. Elle a été martelée par Michael Yeadon. Si vous ne trouvez aucune explication bienveillante, cherchez-en une malveillante nous recommande l'ancien directeur scientifique de Pfizer:
-Vidéo du 21 mai 2021 sur le pass sanitaire (et sur le mensonge des variants).
-La fameuse vidéo originelle dans son garage à moto, datée du 8 janvier 2021, quand il commençait tout juste à comprendre certains aspects de l'imposture sur la base de ses connaissances en matière d'immunité cellulaire acquise croisée pour toute la famille des coronavirus. Il ne pourra jamais se produire une pandémie à coronavirus pour cette raison. Cette vidéo, 6 mois avant les révélations de David E. Martin, faisait malheureusement exister la maladie imaginaire qui n'était pourtant basée que sur les tests RT-PCR aux amorces fantaisistes. Pour l'histoire...


Cette recommandation générale est d'autant plus pertinente que l'on sait aujourd'hui qu'aucune maladie nouvelle n'est apparue dans le monde à la fin de l'année 2019. Il ne peut donc exister aucune intention vaccinale comme y a insisté David E. Martin, par exemple ici avec Robert Kennedy.

2/ Il faut ensuite écouter le professeur d'immunologie allemand Sucharit Bhakdi:
-le 3 mai 2021, en train de résister aux manipulations d'un Xavier Azalbert (on le rappelle, ancien du cabinet Mac Kinsey...).
-le 16 juillet 2021, seul devant son tableau blanc. "Arrêtez tout!"

Le risque thrombo-embolique "théorique" (i.e. si ces produits contiennent bien ce qu'ils sont sensés contenir) est donc majeur. Il peut conduire à des infarctus du myocarde, des AIT (accidents ischémiques transitoires précurseurs d'AVC) et des AVC (accidents vasculaires cérébraux).



3/ La troisième chose à faire est de s'intéresser au contenu réel de ces produits présentés comme des vaccins. On peut affirmer plusieurs choses:

- Tous leurs composants n'ont pas été rendus publics sous prétexte de secret de fabrication.

- Les fabricants ont bénéficié de clauses d'irresponsabilité judiciaire.

- Ces produits sont officiellement encore en phase légale d'expérimentation:


- Ces produits sont tous basés sur la protéine spike du SARS-CoV-2, dont on sait qu'elle est artificielle et augmentée de gains de fonction dont les deux principaux sont un site canonique de clivage par la furine placé stratégiquement entre S1 et S2 pour libérer un peptide transmembranaire et faciliter sa pénétration dans les cellules humaines, et un motif de liaison (RBM) compatible avec les récepteurs ACE2 humains présents dans un grand nombre d'organes.
(Note: BioNTech- Pfizer et Moderna sont des ARN encapsulés dans des nanoparticules lipidiques. AstraZeneca est un code ADN de la protéine spike vectorisé par un adénovirus du chimpanzé. Janssen (Johnson&Johnson) est vectorisé par l'adénovirus humain 26. SpoutnikV de Gamaleya est vectorisé par l'adénovirus humain 26 puis 5 pour le rappel. CanSinoBio (le produit chinois) est vectorisé par l'adénovirus humain 5. Novavax est une protéine spike directement injectée.)

- Or, la protéine spike des coronavirus est connue depuis longtemps comme pouvant entraîner des myocardites, les premiers travaux à ce sujet datant de 1979 sur le coronavirus HCov-229E (Small JD, Aurelian L, Squire RA, Stradberg JD, Melby EC, Turner TB et al. Rabbit Cardiomyopathy Associated with a Virus Antigenically Related to Human Coronavirus Strain 229E. American Journal of Pathology. 1979; 95: 709-729). Ces travaux ont été repris en 1992 avec le fameux Ralph Baric (Edwards S, Small JD, Geratz JD, Alexander LK, Baric RS. An Experimental Model for Myocarditis and Congestive Heart Failure after Rabbit Coronavirus Infection. The Journal of Infectious Diseases. 1992; 165: 134-140). La surprise de constater une flambée de myocardites chez les personnes dites "vaccinées" est donc simulée.

Le docteur Charles Hoffe explique dans cette vidéo le risque thrombo-embolique, en nous confiant au passage qu'il existe 40 trillions de molécules d'ARN dans une seule dose de "vaccin" (un trillion représente mille milliards aux USA) et que 75% de ces molécules passent directement dans la circulation sanguine après l'injection intra-musculaire. La voie d'abord intramusculaire ne semble donc pas avoir été choisie innocemment car une injection sous-cutanée aurait sans doute laissé la plus grande partie du produit sur place sans essaimage via la circulation sanguine vers de nombreux organes. (Des études récentes ont montré que l'ARN injecté migre rapidement, grâce aux nanoparticules lipidiques,  dans le ganglion lymphatique sous-jacent au site d'injection puis se distribue dans un second temps à l'ensemble des organes.)

- L'ARN des produits (BioNTech-Pfizer et Moderna) l'utilisant encapsulé dans des nanoparticules lipidiques pour le faire échapper au système immunitaire avant son entrée dans les cellules, a été modifié par une pseudouridylation destinée à le rendre plus durable une fois qu'il est entré dans la cellule. Et ce n'est pas seulement une extrémité de cet ARN qui est pseudouridylée comme on le croyait d'abord mais la totalité de la molécule, phénomène jamais présent dans la nature. (La pseudouridine est l'isomère C5-glycoside de l'uridine. Elle rend plus rigide le squelette phosphodiester de l'ARN, ce qui rend les ARN courts plus stables même dans des cellules soumises à un stress.) Tout est donc fait pour que cet ARN largement disséminé dans l'organisme par son nombre extravagant de molécules injectées et sa voie d'abord intra-musculaire perdure de telle façon que les cellules d'un grand nombre d'organes fabriquent durablement la dangereuse protéine spike. Cette fabrication continuelle de protéine spike, identifiée par notre système immunitaire comme un corps étranger à éliminer, a de fortes chances d'entraîner des phénomènes d'orages cytokiniques (emballement de la réponse immunitaire) et des phénomènes auto-immuns (attaque des organes par nos cellules immunitaires), décrits par la microbiologiste irlandaise Dolores Cahill le 5 janvier 2021 puis son avertissement expéditif du 7 avril 2021 ici, et par la médecin militaire américaine Lee Merrit qui parle carrément d'arme binaire.

- Enfin les contrôles "qualité du produit fini" se sont montrés défaillants (voir Jour 4 du Grand Jury et cette vidéo de Michael Yeadon) de sorte que tous les numéros de lots ne contiennent pas les mêmes produits. Ceci est démontré par le fait que les effets pathogènes se concentrent sur quelques lots seulement, ce qui pourrait expliquer pourquoi un grand nombre de personnes dites "vaccinées" restent indemnes à ce jour. Cette disparité des lots signe pour Reiner Fuellmich le smoking gun, autrement dit la flagrance du crime.

4/ Les risques supplémentaires suivants sont reconnus:

- Le risque de phénomène ADE (Antibody Dependant Enhancement) dit en français "des anticorps facilitants" est très connu pour les coronavirus car des essais de vaccins traditionnels ont déjà été faits dans le passé en médecine vétérinaire notamment pour la classique péritonite du chat causée par un coronavirus. Tous ces essais ont été abandonnés par suite de la mortalité accrue par phénomène ADE. Ce phénomène ADE a par surcroît provoqué un scandale aux Philippines en 2016 à la suite de l'injection d'un vaccin contre le virus de la dengue, qui se comporte comme les coronavirus, et qui a entraîné le décès de 600 enfants. Cela signifie que les personnes dites "vaccinées" vont pouvoir faire des infections graves par des coronavirus banaux qui normalement ne provoquent que de simples rhumes comme l'OC43 et le 229E.

Des travaux récents (Yuyang Lei, John Y.J.Shyy et coll.) confirment le pouvoir thrombo-embolique de la protéine spike seule, et donc des produits présentés comme des vaccins. En se fixant sur les récepteurs ACE2, elle perturberait le signal intracellulaire en direction des mitochondries et provoquerait leur fragmentation. Ceci endommagerait les cellules endothéliales des petits vaisseaux, ce qui conduirait à une agrégation plaquettaire secondaire à ces lésions.


- Wolfgang Wodarg et Michael Yeadon ont très tôt alerté (décembre 2020) sur le risque de stérilité de la femme par similitude de la protéine spike avec le syncytium placentaire par effet auto-immun. Le risque de stérilité, féminine comme masculine, existe également pour une autre raison, car les gonades (ovaire et testicule) sont des organes contenant un grand nombre de récepteurs ACE2.

-Un risque génétique théorique existe par intégration au génome du code de l'ARN injecté, par la transcriptase inverse de nos spumavirus par exemple (Rudolf Jaenisch et coll. en mai 2021, Masayuki et coll. en 2011).

5/ Confirmant tous ces risques, le professeur d'anatomo-pathologie Arne Burkhardt a exposé au jour 4 du Grand Jury des cas de lésions sévères de différents organes provoquées par les injections. Le caractère ubiquitaire de la protéine spike produite par les cellules des personnes dites "vaccinées" est bien entendu dû à son affinité pour les récepteurs ACE2 humain, ce qu'avait pu obtenir Shi Zheng Li dès 2008 par l'introduction d'un site de restriction en début de RBM permettant son échange standard, puis en 2015 en collaboration avec Ralph Baric (création du premier coronavirus artificiel hautement pathogène, confirmant l'importance du récepteur ACE2 - voir notre article n°134). Du point de vue de l'empoisonneur, ce caractère ubiquitaire a pour immense avantage de diversifier les tableaux cliniques, et donc de fausser les pistes. Quoi qu'il en soit, continuer les injections dans ces conditions constitue très clairement un crime monstrueux.


6/ On doit également, devant l'ampleur de la fraude du covid et la focalisation sur une technique à base d'ARN, évoquer la possibilité d'utilisation inavouée d'une technique d'édition génique, soit CRISPR-Cas9, soit une technique qui en est dérivée. Les indices étayant cette présomption sont les suivants:

    - Conservation du produit Pfizer à une température de -80°C, qui est la température de conservation du complexe RNP (ARNguide associé à l'enzyme Cas9) dans le protocole CRISPR-Cas9 (voir article 135 où cette technique d'édition génique est détaillée).

    - La technique CRISPR-Cas9 a pu contourner le problème des anticorps anti-Cas9 de certains patients en vectorisant le complexe RNP au sein d'un virus porteur servant de cheval de Troie. Le virus vecteur choisi est un adénovirus, comme dans les produits AstraZeneca (adénovirus du chimpanzé), Johnson et Johnson (adénovirus humain 26), CanSinoBio (adénovirus humain 5) et Spoutnik (adénovirus humains 26 puis 5 pour la deuxième injection).

    - Afin d'éviter les off-targets (modification du génome hors cible), on doit procéder par petites touches répétées en raison de la grande puissance de l'enzyme Cas9. Or, on commence à entendre parler d'un programme d'injections semestrielles.

    - On a récemment utilisé à la place de l'enzyme Cas9 qui coupe les deux brins d'ADN, l'enzyme nickase qui ne coupe qu'un seul brin. La nickase agit avec moins d'efficacité que la Cas9 mais a cet avantage qu'on peut répéter la procédure autant de fois que nécessaire. Avec l'enzyme Cas9, quand il s'agit d'introduire un nouveau gène à l'endroit coupé (et non de laisser simplement la délétion), le nouveau gène présenté ne se greffe que dans 40% des cas. Le gros problème est qu'en cas d'échec (donc dans 60% des cas), il est impossible de recommencer au même endroit en raison de la délétion provoquée. Alors qu'avec l'enzyme nickase, l'ADN se répare en cas d'échec en copiant le brin indemne, et la répétition de la procédure au même endroit est possible. Ceci conforte la présomption quand on entend avancer la nécessité d'un programme "vaccinal" d'injections indéfiniment répétées.

    - Ce qui a été nommé "éligibilité au vaccin" où l'on a assisté à des refus de "vaccination" de jeunes qui se présentaient sur des vaccinodromes pourtant déserts au prétexte que la priorité était faite aux vieux, laisse penser que les produits ne sont pas les mêmes. De la même façon, la découverte qu'il était injecté à Epernay du sérum physiologique à la place du "vaccin", laisse penser qu'on procède à des études en double aveugle à l'insu des participants. Il est donc possible que différentes expérimentations d'édition génique visant des gènes variés soient réalisées selon les numéros de lot des produits.


7/ Il faut se méfier de l'utilisation du mot génocide qui peut être mal comprise en raison du grand nombre de définitions de ce mot. La volonté de destruction d'une nation est généralement considérée comme relevant d'un génocide, ainsi que l'empêchement des naissances. L'acception est donc plus large que l'extermination immédiate d'une population. Les données de l'INSEE de la mortalité toutes causes confondues en France ne font pas actuellement apparaître un accroissement visible après les injections des produits présentés comme des vaccins. Voir tableau suivant établi selon les chiffres de l'INSEE du 11 mai 2022. Attention donc aux faux lanceurs d'alerte mais vrais agents provocateurs dont le but est d'agiter une partie de l'opinion pour mieux la disqualifier.


8/ Ajout du 21 mars 2023: A ce jour, on ne déplore pas d'accroissement de la mortalité en France ni de chute du nombre des naissances vivantes depuis l'injection massive de ces produits. Tout se passe comme si seuls des placebos avaient finalement été utilisés et que de faux lanceurs d'alerte ont surtout tenté de nous faire peur pour obtenir l'agitation populaire propre à un changement de régime politique. Voir cet article: L'échec du covidisme.

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Pour conclure cet exposé sur ces produits présentés comme des vaccins, il faut rappeler les grands principes de l'exercice médical en France:

1/ Le premier principe, duquel tout découle, est que la pratique médicale n'est pas d'essence fasciste mais repose sur le "colloque singulier": C'est le tête à tête du malade avec son praticien qui crée, chaque fois, la nouvelle solution médicale et non un quelconque "avis scientifique établi". A savoir que quand une difficulté ou une controverse médicale apparaît et peine à se résoudre, on a depuis longtemps la méthode pour trouver quoi faire du malade qui se présente avec sa souffrance. Cette méthode repose sur 4 autres principes:

2/ Le deuxième principe est le secret médical, qui va permettre que la solution soit bien le fruit du colloque singulier et ne soit pas perturbée par des injonctions extérieures, qu'elles soient politiques ou économiques. On voit que le pass sanitaire et le pass vaccinal contreviennent gravement à ce deuxième principe.

3/ Le troisième principe est la liberté de choix du praticien par le malade. On ne saurait donc transférer des malades d'un établissement à un autre sans leur accord express comme on l'a mis en scène en 2020 quand des patients se sont vus imposer ce qui a la valeur d'une déportation en parfaite violation de ce troisième principe.

4/ Le quatrième principe est la liberté de prescription du praticien, prescription devant être entendue au sens large puisqu'elle comprend la totalité du plan de traitement et pas seulement la rédaction des ordonnances de médicaments. Le praticien est donc considéré comme "intégré", en cela qu'il a intégré les données acquises de la science et en est l'incarnation la plus fiable. Cette autonomie totale n'est pas sans évoquer le processus d'assimilation selon Edgar Morin; en substance: "J'ai incorporé l'histoire de France et je m'y suis incorporé." (Mes Démons, 1994, éditions Stock) Elle a pour conséquence que le praticien est tenu judiciairement responsable de ses actes. Elle est par surcroît encadrée de trois façons:

a/ Le praticien est tenu de délivrer des soins conformes aux données acquises de la science, acquises signifiant "sérieusement établies" et non à l'avant-garde. On comprend que des prétendus "vaccins", officiellement élaborés en quelques semaines (en réalité fruit de 73 brevets dont le plus ancien date de 2008 comme l'a montré David E. Martin) et en cours d'essais cliniques ne peuvent être considérés comme des données acquises de la science.

b/ Le praticien n'est autorisé, quand bien même il en posséderait le diplôme nécessaire, à exécuter que les actes dont il a la compétence réelle. On voit qu'il était donc très facile à des pharmaciens et des chirurgiens-dentistes de refuser de participer à la campagne d'injection de produits géniques, dite de "vaccination", sur la base imparable de ce simple principe, fait dont il faudra tenir compte quand l'heure de la justice aura sonné.

c/ L'acte médical est une atteinte à l'intégrité du corps humain portée délibérément par le praticien . En l'absence de bénéfice attendu pour le patient lui-même (et non pour atteindre un objectif de santé publique), ce bénéfice pouvant être thérapeutique ou diagnostique, l'acte médical est constitutif du crime de blessure volontaire, voire le cas échéant d'homicide. On comprend que cette qualification est d'emblée à retenir pour les prétendues "vaccinations" d'enfants contre la maladie imaginaire dite covid 19 puisque les enfants n'ont jamais été concernés par le narratif de cette maladie imaginaire, de même que le port du masque qui est un dispositif médical, de même que les tests RT-PCR frauduleux dont le caractère invasif aggrave le crime.

5/ Le cinquième principe est la nécessité du praticien d'obtenir de façon loyale le consentement libre et éclairé, préalable, de son patient pour tout acte médical, ce consentement pouvant être révoqué par le patient à tout moment, même une fois le traitement commencé. Tout malade a ainsi parfaitement le droit de refuser tout ou partie d'un traitement, quand bien même un "avis scientifique établi" en aurait démontré le bien fondé. On comprend qu'il est impossible d'imposer l'injection de produits à quiconque, sous quelque prétexte que ce soit, santé publique ou autre, sans violer gravement ce cinquième principe. On en déduit que l'obligation dite "vaccinale" contre la maladie imaginaire dite Covid 19 pour certaines professions est un crime et une extorsion du consentement par chantage à l'emploi.

Il résulte de l'exposition de ces grands principes de l'exercice médical en France que la population française est victime depuis le 16 mars 2020 d'une oppression caractérisée à laquelle la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789, par son article II, sommet de notre hiérarchie des normes, donne le droit de résister.

La résistance à l'oppression, un droit naturel, imprescriptible, inaliénable, sacré. Le peuple français détient le droit de refuser de se faire empoisonner par injection de produits géniques. "Face à une insurrection morale, il n'y avait rien à combattre ni à défendre" avait dit très majestueusement Louis-Philippe en 1848 face au peuple qui réclamait du travail et du pain, tout en se dirigeant sagement vers l'Angleterre. Les dingues feront-ils donner la milice comme Thiers le recommandait déjà au roi (23 années avant le massacre de la Commune) en prenant Paris depuis Versailles comme une place assiégée? Et toi, Citoyen-gendarme et Citoyen-policier, vas-tu alors participer à ces crimes?